RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT

ANSM - Mis à jour le : 13/05/2020

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT

OXYBUTYNINE ACCORD 5 mg, comprimé sécable

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

Chlorhydrate d’oxybutynine...................................................................................................... 5 mg

Pour un comprimé sécable.

Excipient à effet notoire : 106,50 mg de lactose monohydraté par comprimé.

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE

Comprimé.

Comprimés non enrobés, blancs à blanc cassé, inodores, biconvexes, ronds, de 7,9 mm de diamètre, portant les inscriptions « B » et « R » de chaque côté de la barre de cassure sur une face et lisses sur l’autre.

Le comprimé peut être divisé en doses égales.

4. DONNEES CLINIQUES

4.1. Indications thérapeutiques

Adultes

Traitement de l’incontinence urinaire, de l’impériosité et de la pollakiurie en cas d’hyperactivité de la vessie, secondaire à une vessie neurogène (hyperréflexie du détrusor) ou une hyperactivité idiopathique du détrusor.

Population pédiatrique

Le chlorhydrate d’oxybutynine est indiqué chez les enfants de plus de 5 ans en cas :

· d’incontinence urinaire, d’impériosité et de pollakiurie, dues à une hyperactivité de la vessie secondaire à une vessie hyperactive idiopathique ou une atteinte vésicale neurogène (hyperactivité du détrusor) ;

· d’énurésie nocturne associée à une hyperactivité du détrusor, en association à un traitement non médicamenteuse, en cas d’échec des autres traitements.

4.2. Posologie et mode d'administration

Posologie

Adultes : La posologie devra être déterminée individuellement, en commençant par une dose initiale de 2,5 mg trois fois par jour. Une posologie minimale efficace devra être ensuite utilisée.

La posologie quotidienne peut varier entre 10 et 15 mg (la dose maximale est de 20 mg par jour), répartie en deux ou trois prises (au maximum quatre prises).

Sujets âgés : La demi-vie d’élimination est augmentée chez les sujets âgés. Ainsi, chez certains sujets à risque, une posologie de 2.5 mg deux fois par jour peut être suffisante.

Cette posologie peut être augmentée progressivement jusqu’à 5 mg deux fois par jour afin d’obtenir une réponse clinique, à condition que les effets indésirables sont bien tolérés.

Enfants (en-dessous de 5 ans) : L’efficacité et la sécurité d’emploi du chlorhydrate d’oxybutynine chez les enfants âgés de moins de 5 ans n’a pas été établie. Aucune donnée n’est disponible.

Enfants (au-dessus de 5 ans) : La posologie devra être déterminée individuellement.

La dose initiale recommandée est de 2,5 mg deux fois par jour. Une posologie minimale efficace devra ensuite être utilisée.

La posologie maximale sera établie en fonction du poids corporel (0,3 à 0,4 mg/kg/jour) comme suit :

Age

Posologie

5-9 ans

2,5 mg trois fois par jour

9-12 ans

5 mg deux fois par jour

Plus de 12 ans

5 mg trois fois par jour

Mode d’administration

Les comprimés peuvent être pris à jeun. Le comprimé doit être avalé entier, avec la quantité d’eau appropriée.

4.3. Contre-indications

· Hypersensibilité à la substance active ou à l’un des excipients mentionnés à la rubrique 6.1.

· Myasthénie grave.

· Glaucome à angle fermé ou chambre antérieure peu profonde.

· Obstruction gastro-intestinale fonctionnelle ou organique y compris sténose pylorique, iléus paralytique et atonie intestinale.

· Patients ayant subi une iléostomie, une colostomie, ou présentant une colectasie ou une rectocolite hémorragique grave.

· Patients souffrant d’une obstruction de l’écoulement de la vessie pouvant accélérer la rétention urinaire.

· Miction nocturne fréquente causée par une maladie cardiaque ou rénale.

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi

Le chlorhydrate d’oxybutynine doit être utilisé avec prudence chez les sujets âgés ou les enfants faibles, qui peuvent se révéler plus sensibles aux effets de l’oxybutynine, et chez les patients atteints de neuropathie autonome (telle que ceux souffrant de la maladie de Parkinson), d’insuffisance hépatique ou rénale, ou de troubles de la motilité gastro-intestinale graves (voir aussi rubrique 4.3).

Les anticholinergiques doivent être utilisés avec précaution chez les patients âgés en raison du risque d’insuffisance cognitive.

Affections gastro-intestinales : les médicaments anticholinergiques peuvent réduire la motilité gastro-intestinale et doivent être utilisés avec prudence chez les patients atteints de troubles gastro-intestinaux obstructifs, d’atonie intestinale et de rectocolite hémorragique.

Le chlorhydrate d’oxybutynine peut aggraver la tachycardie (et donc les symptômes d’hyperthyroïdie, d’insuffisance cardiaque congestive, d’arythmie cardiaque, de cardiopathie coronarienne et d’hypertension), les troubles cognitifs et les symptômes d’hypertrophie prostatique.

Des effets anticholinergiques sur le SNC (par ex., hallucinations, agitation, confusion, somnolence) ont été rapportés ; une surveillance est recommandée en particulier dans les premiers mois après l’instauration du traitement ou après une augmentation de la dose ; il convient d’envisager d’interrompre le traitement ou de réduire la dose en cas d’apparition d’effets anticholinergiques sur le SNC.

L’oxybutynine pouvant provoquer un glaucome à angle fermé, il doit être conseillé aux patients de contacter immédiatement un médecin s’ils remarquent une perte soudaine d’acuité visuelle ou une douleur oculaire.

L'oxybutynine peut réduire les sécrétions salivaires pouvant entraîner des caries dentaires, une parodontose ou une candidose buccale.

Des examens dentaires réguliers sont donc conseillés pendant les traitements à long terme.

Les médicaments anticholinergiques doivent être utilisés avec prudence chez les patients présentant une hernie hiatale/un reflux gastro-œsophagien et/ou qui prennent en même temps des médicaments (tels que les bisphosphonates) qui peuvent provoquer ou exacerber une œsophagite, associée à une œsophagite par reflux.

Lorsque l’oxybutynine est utilisée dans un environnement où les températures sont élevées, ceci peut conduire à un épuisement dû à la chaleur provoqué par une diminution de la sudation.

Population pédiatrique

L'utilisation de l'oxybutynine chez les enfants de moins de 5 ans n'est pas recommandée ; il n'a pas été établi si l'oxybutynine peut être utilisée sans danger dans ce groupe d'âge.

Les données concernant l’utilisation d’oxybutynine chez les enfants souffrant d’énurésie nocturne monosymptomatique (non liée à une hyperactivité du détrusor) sont limitées.

Chez les enfants de plus de cinq ans, le chlorhydrate d’oxybutynine doit être utilisé avec prudence, ceux-ci pouvant se révéler plus sensibles aux effets du médicament, en particulier les réactions indésirables du SNC et psychiatriques.

Ce médicament contient du lactose. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit en lactase de Lapp ou un syndrome de malabsorption du glucose ou du galactose (maladies héréditaires rares).

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions

Il convient d’être prudent lors de l’administration d’autres agents anticholinergiques avec OXYBUTYNINE ACCORD, une potentialisation des effets anticholinergiques pouvant survenir.

L’activité anticholinergique de l’oxybutynine est augmentée par l’utilisation concomitante d’autres anticholinergiques ou de médicaments ayant une activité anticholinergique, tels que l’amantadine et d’autres médicaments antiparkinsoniens anticholinergiques (par ex., le bipéridène, la lévodopa), les antihistamines, les antipsychotiques (par ex., les phénothiazines, les butyrophénones, la clozapine), la quinidine, la digitale, les antidépresseurs tricycliques, l’atropine et les composés apparentés tels que les antispasmodiques atropiniques et le dipyridamole.

En diminuant la motilité gastrique, OXYBUTYNINE ACCORD pourrait affecter l’absorption d’autres médicaments.

L'oxybutynine est métabolisée par l'isoenzyme CYP 3A4 du cytochrome P 450. L’administration concomitante avec un inhibiteur du CYP 3A4 peut inhiber le métabolisme de l’oxybutynine et augmenter l’exposition à l’oxybutynine (ex. ketoconazole, itraconazole, érythromycine).

L'oxybutynine, en tant qu'agent anticholinergique, peut antagoniser l'effet des traitements prokinétiques (par exemple métoclopramide et dompéridone).

L’utilisation concomitante avec les inhibiteurs de la cholinestérase peut entraîner une diminution de l’efficacité de l’inhibition de la cholinestérase.

Il convient d’informer les patients que l’alcool peut majorer la somnolence causée par les agents anticholinergiques tels que l’oxybutynine (voir rubrique 4.7).

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement

Grossesse

Il n'existe pas de données suffisamment pertinentes concernant l'utilisation de l’oxybutynine chez la femme enceinte. Des études effectuées chez l'animal ont mis en évidence une toxicité mineure sur la reproduction (voir rubrique 5.3). Les études effectuées chez l’animal sont insuffisantes pour permettre de conclure sur les effets sur la grossesse, le développement embryonnaire/fœtal, la parturition ou le développement postnatal (voir rubrique 5.3). Le risque potentiel pour l’être humain n’est pas connu. L’oxybutynine ne doit pas être utilisé pendant la grossesse sauf en cas d’absolue nécessité.

Allaitement

Lorsque l’oxybutynine est utilisée pendant l’allaitement, une petite quantité est excrétée dans le lait maternel. Il n'est donc pas recommandé d'allaiter en cas de traitement par oxybutynine.

Fertilité

Il n’existe aucune donnée concernant les effets sur la fécondité chez l’homme. Des études sur les animaux ont montré une diminution de la fécondité chez les femelles (voir rubrique 5.3).

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines

Ce médicament peut entraîner somnolence ou vision trouble. En conséquence, les patients ne doivent pas conduire ou utiliser de machines à moins que l’absence d’effets sur les aptitudes physiques et mentales n’ait été démontrée.

4.8. Effets indésirables

Dans des essais cliniques incluant plus de 3000 patients exposés au chlorhydrate d’oxybutynine, les effets indésirables provenaient principalement des effets anticholinergiques du chlorhydrate d’oxybutynine. Un assèchement buccal était l’effet indésirable le plus communément observé.

La fréquence des effets indésirables est basée sur les données d’innocuité des études cliniques avec le chlorhydrate d’oxybutynine 2,5 mg et 5 mg, et l’expérience acquise après la commercialisation du médicament.

Les réponses ont été classées par systèmes d’organes et par fréquences lorsque c’est possible, comme suit : très fréquent (≥ 1/10), fréquent (≥ 1/100 et <1/10), peu fréquent (≥ 1/1000 et <1/100), rare (≥ 1/10 000 et

<1/1000), très rare (<1/10 000), indéterminé (ne peut être estimé sur la base des données disponibles).

Les effets indésirables suivants (marqués d’un astérisque *), qui n’ont pas été observés dans les essais cliniques mais rapportés après la commercialisation du médicament, ont été classés dans la fréquence « rare/indeterminé ».

Systèmes d’organes

Très fréquent

Fréquent

Peu fréquent

Rare

Indéterminé

Infections et infestations

Infections des voies urinaires

Affections du système immunitaire

Hypersensibilité

Affections psychiatriques

Confusion

Hallucinations, désorientation, difficultés de concentration.

Excitation / agitation, anxiété*, hallucinations, cauchemars*, paranoïa, troubles cognitifs chez les patients âgés, symptômes de dépression, dépendance (chez les patients ayant des antécédents de de toxicomanie)

Affections du système nerveux

Maux de tête, étourdissements, somnolence /fatigue,

Assoupissement

Convulsions *, dysfonctionnement cognitif *

Affections oculaires

Diminution de la production de larmes / yeux secs

Hypersensibilité à la lumière

Vision trouble, mydriase, glaucome à angle fermé *, tension oculaire élevée

Affections cardiaques

Tachycardie, arythmies cardiaques

Affections vasculaires

Rougeur du visage (peut être plus marquée chez les enfants)

Affections gastro- intestinales

Assèchement buccal, constipation, nausées

Dyspepsie diarrhée, vomissements

Gêne / douleurs abdominales, douleurs, anorexie, diminution de l’appétit, dysphagie

Reflux gastro- œsophagien, pseudo-obstruction chez les patients à risque (personnes âgées ou patients souffrant de constipation et traités avec d'autres médicaments qui diminuent la motilité intestinale)

Affections de la peau et du tissu sous-cutané

Diminution de la sudation / assèchement de la peau

Phototoxicité

Réactions allergiques comme les éruptions cutanées, l’urticaire et l’angiœdème, hypohydrose

Affections rénales et urinaires

Rétention urinaire

Système reproductif et affections mammaires

Dysfonctionnement érectile

Lésions, intoxications, et complications liées aux procédures

Crise cardiaque

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet: www.signalement-sante.gouv.fr.

4.9. Surdosage

Les symptômes du surdosage à l’oxybutynine vont d’une intensification des effets indésirables habituels des problèmes du SNC (de l’agitation et l’excitation au comportement psychotique), à des modifications de la circulation (bouffée congestive, diminution de la pression artérielle, insuffisance circulatoire, etc.), une insuffisance respiratoire, la paralysie et le coma.

Mesures à prendre :

1) Lavage gastrique immédiat.

2) Physostigmine par injection intraveineuse lente.

Adultes : 0,5 à 2,0 mg de physostigmine, lentement par IV, répété après 5 minutes si nécessaire, jusqu’à une dose totale maximale de 5 mg.

Enfants : 30 microgrammes/kg de physostigmine, lentement par IV, répété après 5 minutes si nécessaire, jusqu’à une dose totale maximale de 2 mg.

La fièvre doit être traitée de manière symptomatique avec des compresses à l’eau tiède ou de la glace.

Dans les cas d’agitation ou d’excitation prononcés, on pourra administrer 10 mg de diazépam par injection intraveineuse, la tachycardie pourra être traitée par injection intraveineuse de propranolol, et la rétention urinaire prise en charge par la cathétérisation.

En cas de progression de l’effet curarimimétique jusqu’à la paralysie des muscles respiratoires, une ventilation mécanique sera nécessaire.

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES

5.1. Propriétés pharmacodynamiques

Classe pharmacothérapeutique : Autres médicaments urologiques, incluant les antispasmodiques, Antispasmodiques urinaires

Code ATC : G04 BD04.

L’oxybutynine possède non seulement une action antispasmodique directe sur le muscle lisse du détrusor de la vessie, mais aussi une action anticholinergique par le blocage des effets muscariniques de l’acétylcholine sur le muscle lisse.

Ces propriétés entraînent le relâchement du muscle détrusor de la vessie. Chez les patients souffrant d’instabilité vésicale, l’oxybutynine augmente la capacité de la vessie et diminue l’incidence des contractions spontanées du muscle détrusor.

5.2. Propriétés pharmacocinétiques

Absorption

L’oxybutynine est rapidement absorbé par le tractus gastro-intestinal à la suite de l’administration orale, les concentrations plasmatiques atteignant un maximum en moins d’une heure. L’effet de premier passage est élevé et moins de 10 % de la dose administrée atteint la circulation sous forme inchangée.

Distribution

L’oxybutynine est largement distribué dans les tissus corporels après absorption systémique. Le volume de distribution a été estimé à 1931 après administration intraveineuse de 5 mg de chlorhydrate d’oxybutynine.

Biotransformation

L’oxybutynine est métabolisé considérablement par le foie, principalement par le système enzymatique du cytochrome P450, et en particulier par le CYP3A4, que l’on trouve essentiellement dans le foie et la paroi intestinale. Les métabolites incluent l'acide phénylcyclohexylglycolique, qui est pharmacologiquement inactif, et la N-déséthyloxybutynine, qui est pharmacologiquement active

Elimination

L’oxybutynine est métabolisé considérablement dans le foie (voir ci-dessus), moins de 0,1 % de la dose administrée étant éliminée sous forme inchangée dans les urines. De même, moins de 0,1 % de la dose administrée est éliminée sous la forme du métabolite N-déséthyloxybutynine.

Sujets âgés

La biodisponibilité est plus élevée chez les patients âgés ; l’aire sous la courbe est de deux à quatre fois plus élevée après administration répétée et la demi-vie est de trois à cinq fois plus longue (voir rubrique 4.2).

5.3. Données de sécurité préclinique

Les données précliniques issues des études de toxicité aiguë, de toxicité en administration répétée, de génotoxicité, de cancérogénèse et de toxicité locale n’ont pas révélé de risque particulier pour l’homme. Des effets indésirables ont été observés lors des études d’embryotoxicité chez le lapin.

À une concentration de 0,4 mg/kg/jour d'oxybutynine administrée par voie sous-cutanée, l'apparition d'anomalies d’organes est significativement augmentée, mais n’est observée qu’en présence de toxicité maternelle. Toutefois, étant donné l’absence de connaissances concernant le lien entre la toxicité maternelle et l'effet sur le développement, il n’est pas possible d’établir la pertinence de ces données chez l’homme.

Au cours de l’étude de fertilité chez le rat après administration par voie sous-cutanée, alors qu’aucun effet n'a été rapporté chez les mâles, une altération de la fécondité a été observée chez les femelles et une dose sans effet indésirable de 5 mg/kg a été identifiée.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES

6.1. Liste des excipients

Cellulose en poudre, lactose monohydraté, talc, stéarate de magnésium (E572).

6.2. Incompatibilités

Sans objet.

6.3. Durée de conservation

2 ans.

6.4. Précautions particulières de conservation

À conserver à une température ne dépassant pas 30ºC.

À conserver dans l’emballage extérieur d’origine à l’abri de l’humidité.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur

6, 20, 21, 28, 30, 50, 56, 60, 84 et 100 comprimés sous plaquettes (PVC/PVDC/Aluminium).

6, 20, 21, 28, 30, 50, 56, 60, 84 et 100 comprimés sous plaquettes (PVC/Aluminium).

Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées.

6.6. Précautions particulières d’élimination et de manipulation

Pas d’exigences particulières.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

ACCORD HEALTHCARE FRANCE SAS

45 RUE DU FAUBOURG DE ROUBAIX

59000 LILLE

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

· 34009 267 159 5 3 : 6 comprimés sous plaquette (PVC/PVDC/Aluminium).

· 34009 267 160 3 5 : 20 comprimés sous plaquettes (PVC/PVDC/Aluminium).

· 34009 267 162 6 4 : 21 comprimés sous plaquettes (PVC/PVDC/Aluminium).

· 34009 267 163 2 5 : 28 comprimés sous plaquettes (PVC/PVDC/Aluminium).

· 34009 267 164 9 3 : 30 comprimés sous plaquettes (PVC/PVDC/Aluminium).

· 34009 267 165 5 4 : 50 comprimés sous plaquettes (PVC/PVDC/Aluminium).

· 34009 267 941 5 6 : 56 comprimés sous plaquettes (PVC/PVDC/Aluminium)

· 34009 267 166 1 5 : 60 comprimés sous plaquettes (PVC/PVDC/Aluminium).

· 34009 267 167 8 3 : 84 comprimés sous plaquettes (PVC/PVDC/Aluminium).

· 34009 267 168 4 4 : 100 comprimés sous plaquettes (PVC/PVDC/Aluminium).

· 34009 267 169 0 5 : 6 comprimés sous plaquette (PVC/Aluminium).

· 34009 267 170 9 4 : 20 comprimés sous plaquettes (PVC/Aluminium).

· 34009 267 171 5 5 : 21 comprimés sous plaquettes (PVC/Aluminium).

· 34009 267 172 1 6 : 28 comprimés sous plaquettes (PVC/Aluminium).

· 34009 267 173 8 4 : 30 comprimés sous plaquettes (PVC/Aluminium).

· 34009 267 174 4 5 : 50 comprimés sous plaquettes (PVC/Aluminium).

· 34009 267 942 1 7 : 56 comprimés sous plaquettes (PVC/Aluminium)

· 34009 267 175 0 6 : 60 comprimés sous plaquettes (PVC/Aluminium).

· 34009 267 176 7 4 : 84 comprimés sous plaquettes (PVC/Aluminium).

· 34009 267 177 3 5 : 100 comprimés sous plaquettes (PVC/Aluminium).

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DE L’AUTORISATION

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

11. DOSIMETRIE

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACEUTIQUES

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste II