RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT
ANSM - Mis à jour le : 23/10/2015
DESLORATADINE SANDOZ 0,5 mg/ml, solution buvable
2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE
Chaque ml de solution buvable contient 0,5 mg de desloratadine.
Excipients : Ce médicament contient 147,15 mg/ml de sorbitol liquide non cristallisable.
Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.
Solution claire, incolore et limpide.
4.1. Indications thérapeutiques
La desloratadine est indiquée pour le traitement symptomatique de :
· la rhinite allergique (voir rubrique 5.1),
· l’urticaire (voir rubrique 5.1).
4.2. Posologie et mode d'administration
Le prescripteur devra garder en mémoire le fait que chez l’enfant de moins de 2 ans, la majorité des cas de rhinites est d’origine infectieuse (voir rubrique 4.4) et qu’il n’y a pas de données validant l’efficacité de DESLORATADINE SANDOZ 0,5 mg/ml, solution buvable en traitement de la rhinite infectieuse.
Posologie
Enfants de 1 à 5 ans : 2,5 ml (1,25 mg) de DESLORATADINE SANDOZ 0,5 mg/ml, solution buvable une fois par jour.
Enfants de 6 à 11 ans : 5 ml (2,5 mg) de DESLORATADINE SANDOZ 0,5 mg/ml, solution buvable une fois par jour.
Adultes et adolescents (12 ans et plus) : 10 ml (5 mg) de DESLORATADINE SANDOZ 0,5 mg/ml, solution buvable une fois par jour.
Chez les adolescents de 12 à 17 ans l’expérience de l’utilisation de la desloratadine dans les études cliniques d’efficacité est limitée (voir rubriques 4.8 et 5.1).
La rhinite allergique intermittente (présence de symptômes sur une période de moins de 4 jours par semaine ou sur une période inférieure à 4 semaines) doit être prise en charge en fonction de l’évaluation des antécédents de la maladie du patient, le traitement pouvant être interrompu après disparition des symptômes, et rétabli à leur réapparition.
Dans la rhinite allergique persistante (présence de symptômes sur une période de 4 jours ou plus par semaine et pendant plus de 4 semaines), un traitement continu peut être proposé aux patients pendant les périodes d’exposition allergénique.
Mode d’administration
DESLORATADINE SANDOZ 0,5 mg/ml, solution buvable s’administre à l’aide d’une cuillère mesure graduée aux doses de 2,5 ml et 5 ml ou d’une seringue pour administration orale de 5 ml (voir rubrique 6.6).
4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi
Chez les enfants de moins de 2 ans, il est difficile de différencier la rhinite allergique des autres formes de rhinites. Le diagnostic sera étayé par l’absence d’infection respiratoire haute ou de malformation, ainsi que les antécédents personnels, l’examen clinique, et les tests cutanés ou examens biologiques appropriés.
Environ 6 % des adultes et des enfants de 2 à 11 ans sont des métaboliseurs lents de la desloratadine ce qui entraîne une majoration de l’exposition systémique (voir rubrique 5.2). La tolérance de la desloratadine apparaît identique chez les enfants de 2 à 11 ans métaboliseurs lents et chez ceux dont le métabolisme est normal. Les effets de solution buvable de desloratadine chez les enfants métaboliseurs lents de moins de 2 ans n’ont pas été étudiés.
La desloratadine en solution buvable doit être utilisée avec précaution en cas d’insuffisance rénale sévère (voir rubrique 5.2).
Ce médicament contient du sorbitol. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au fructose (maladie héréditaire rare).
4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions
Au cours d’une étude de pharmacologie clinique, il n’a pas été mis en évidence de potentialisation des effets délétères de l’alcool sur les tests de performances, lors de l’association avec la desloratadine en comprimés (voir rubrique 5.1).
La desloratadine est excrétée dans le lait maternel, par conséquent l’utilisation de la desloratadine en solution buvable n’est pas recommandée chez la femme qui allaite.
4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines
Lors des études cliniques en pédiatrie, la desloratadine en sirop a été administrée chez un total de 246 enfants âgés de 6 mois à 11 ans. L’incidence globale des effets indésirables chez les enfants de 2 ans à 11 ans était similaire dans les groupes desloratadine et placebo. Chez les nourrissons et jeunes enfants âgés de 6 à 23 mois, les effets indésirables les plus fréquemment rapportés avec une incidence supérieure au placebo étaient : diarrhée (3,7 %), fièvre (2,3 %) et insomnie (2,3 %).
Dans une autre étude, aucun effet indésirable n’a été rapporté chez les sujets âgés entre 6 et 11 ans après une dose unique de 2,5 mg de desloratadine solution buvable.
A la dose recommandée, lors des études cliniques impliquant des adultes et des adolescents et conduits dans les indications rhinite allergique et urticaire chronique idiopathique, les effets indésirables ont été rapportés chez 3 % de patients de plus que ceux traités par le placebo. Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés avec une incidence supérieure au placebo étaient : asthénie (1,2 %), sécheresse buccale (0,8 %) et céphalées (0,6 %).
Les autres effets indésirables ayant été très rarement rapportés depuis la commercialisation sont listés dans le tableau suivant :
Affections psychiatriques |
Hallucinations |
Affections du système nerveux |
Vertige, somnolence, insomnie, hyperactivité psychomotrice, convulsions |
Affections cardiaques |
Tachycardie, palpitations |
Affections gastro-intestinales |
Douleur abdominale, nausée, vomissement, dyspepsie, diarrhée |
Affections hépatobiliaires |
Augmentations des enzymes hépatiques, augmentation de la bilirubine, hépatite |
Affections musculo-squelettiques et systémiques |
Myalgie |
Troubles généraux |
Réactions d’hypersensibilité (telles que anaphylaxie, angio-oedème, dyspnée, prurit, rash et urticaire |
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet: www.ansm.sante.fr.
Un traitement symptomatique et des mesures thérapeutiques adaptées sont recommandés.
Au cours d’une étude clinique en dose répétée, chez l’adulte et l’adolescent, aucun effet cliniquement significatif n’a été observé lors de l’administration de desloratadine à une dose allant jusqu’à 45 mg (neuf fois la dose thérapeutique).
La desloratadine n’est pas éliminée par hémodialyse ; on ne sait pas si elle est éliminée par dialyse péritonéale.
5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES
5.1. Propriétés pharmacodynamiques
Classe pharmacothérapeutique : autres antihistaminiques à usage systémique, code ATC : R06A X27
Mécanisme d’action
La desloratadine est un antihistaminique non sédatif, d’action prolongée exerçant un effet antagoniste sélectif sur les récepteurs H1 périphériques. Après administration orale, la desloratadine bloque sélectivement les récepteurs histaminiques H1 périphériques car elle ne diffuse pas dans le système nerveux central.
Effets pharmacodynamiques
Les propriétés antiallergiques de la desloratadine ont été démontrées à partir d’études in vitro. Il a été mis en évidence une inhibition de la libération de cytokines pro-inflammatoires telles que IL-4, IL-6, IL-8, et IL-13 par les mastocytes/basophiles humains, ainsi qu’une inhibition de l’expression de la molécule d’adhésion P-sélectine sur des cellules endothéliales. La signification clinique de ces observations reste à confirmer.
Efficacité et tolérance cliniques
L’efficacité de desloratadine en solution buvable n’a pas été évaluée par des études pédiatriques spécifiques. Cependant, la sécurité de desloratadine en sirop, qui contient la même concentration de desloratadine a été démontrée lors de trois études en pédiatrie. Des enfants de 1-11 ans nécessitant un traitement par antihistaminique ont reçu une dose quotidienne de desloratadine de 1,25 mg (1 à 5 ans) ou de 2,5 mg (6 à 11 ans). Le traitement a été bien toléré comme cela a été montré par des analyses de laboratoire, l’évaluation des signes cliniques et des données ECG, dont l’espace QT. Lorsque la desloratadine était administrée aux doses recommandées, les concentrations plasmatiques de desloratadine étaient comparables chez les enfants et les adultes (voir rubrique 5.2). Ainsi, comme le traitement de la rhinite allergique/de l’urticaire chronique idiopathique et le profil de la desloratadine sont similaires chez l’adulte et l’enfant, les données d’efficacité de la desloratadine chez l’adulte peuvent être extrapolables à la population pédiatrique.
Lors d’une étude clinique en dose répétée, chez l’adulte et l’adolescent, dans lequel jusqu’à 20 mg par jour de desloratadine ont été administrés pendant 14 jours, aucun effet cardiovasculaire statistiquement ou cliniquement significatif n’a été observé. Dans une étude de pharmacologie clinique, chez l’adulte et l’adolescent, dans lequel la desloratadine était administrée chez l’adulte à une dose de 45 mg par jour (9 fois la dose thérapeutique) pendant dix jours, aucune prolongation de l’espace QT n’a été observée.
La desloratadine ne diffuse pas facilement dans le système nerveux central. Lors des études cliniques contrôlées, à la dose recommandée chez l’adulte et l’adolescent de 5 mg par jour, il n’y a pas eu d’augmentation de l’incidence de la somnolence par comparaison avec le placebo. Desloratadine en comprimés administré une fois par jour à la dose unique de 7,5 mg chez l’adulte et l’adolescent n’a pas altéré la performance psychomotrice au cours des études cliniques. Dans une étude en dose unique réalisée chez l'adulte, la desloratadine 5 mg n'a pas modifié les paramètres évaluant les performances pendant un vol aérien, incluant l'exacerbation du sommeil subjectif ou les tâches associées au pilotage d’un avion.
Au cours d’études de pharmacologie clinique chez l’adulte, l’administration concomitante avec l’alcool n’a pas majoré la somnolence ou l’altération de la performance induite par l’alcool. Aucune différence significative n’a été mise en évidence entre les groupes de sujets traités par la desloratadine et ceux recevant un placebo lors des tests de psychomotricité, que le produit soit administré seul ou en association avec l’alcool.
Les études d’interaction menées en dose répétée avec le kétoconazole et l’érythromycine n’ont pas mis en évidence de variations cliniquement significatives des concentrations plasmatiques en desloratadine.
L’efficacité de la desloratadine en solution buvable n’a pas été étudiée lors d’études pédiatriques chez l’enfant de moins de 12 ans.
Chez l’adulte et l’adolescent atteints de rhinite allergique, la desloratadine en comprimés a soulagé les symptômes tels qu’éternuements, écoulement nasal et prurit mais également prurit oculaire, larmoiement et rougeurs, et prurit du palais. La desloratadine en solution buvable a correctement contrôlé les symptômes durant tout le nycthémère. L’efficacité de la desloratadine en comprimés n’a pas été clairement démontrée au cours des études réalisées chez des patients adolescents de 12 à 17 ans.
En plus des classifications établies de la rhinite allergique saisonnière et perannuelle, la rhinite allergique peut aussi être classée en rhinite allergique intermittente et en rhinite allergique persistante selon la durée des symptômes. La rhinite allergique intermittente est définie par la présence de symptômes sur une période de moins de 4 jours par semaine ou sur une période inférieure à 4 semaines. La rhinite allergique persistante est définie par la présence de symptômes sur une période de 4 jours ou plus par semaine et pendant plus de 4 semaines.
La desloratadine en comprimés a diminué le caractère invalidant de la rhinite allergique saisonnière, comme l’a montré le score total du questionnaire de qualité de vie dans la rhino-conjonctivite. L’amélioration la plus importante a été observée dans le domaine des problèmes pratiques et des activités quotidiennes limitées par les symptômes.
L'urticaire chronique idiopathique a été étudiée comme un modèle clinique des manifestations urticariennes, puisque la physiopathologie sous-jacente est semblable, indépendamment de l'étiologie, et parce que les patients chroniques peuvent être plus facilement recrutés prospectivement. La libération d’histamine étant un facteur responsable de toutes les pathologies urticariennes, il est attendu que la desloratadine soit efficace dans le soulagement des symptômes des autres manifestations urticariennes, en plus de l'urticaire chronique idiopathique, ainsi qu’il est recommandé dans les directives cliniques.
Lors de deux études contrôlées de six semaines versus placebo chez des patients atteints d’urticaire chronique idiopathique, la desloratadine s’est montré efficace pour soulager le prurit et pour diminuer le nombre et la taille de l’urticaire dès la fin de la première dose. Dans chaque étude, les effets étaient maintenus durant tout le nycthémère. Comme dans d'autres études sur des antihistaminiques dans l’urticaire chronique idiopathique, le peu de patients identifiés comme non-répondeurs aux antihistaminiques a été exclu. Une diminution du prurit de plus de 50 % a été observée chez 55 % des patients traités par la desloratadine contre 19 % des patients traités par placebo. Le traitement par la desloratadine a également réduit de façon significative les réveils nocturnes et les interférences avec l’activité journalière, paramètres évalués selon une échelle de quatre points.
5.2. Propriétés pharmacocinétiques
Chez l’adulte et l’adolescent, les taux plasmatiques de desloratadine peuvent être détectés dans les 30 minutes qui suivent l’administration. La desloratadine est bien absorbée avec une concentration maximale atteinte après approximativement 3 heures ; la demi-vie de la phase terminale est approximativement de 27 heures. Le facteur d’accumulation de la desloratadine est lié à sa demi-vie (27 heures environ) et à son rythme d’administration en une prise par jour. La biodisponibilité de la desloratadine est dose-dépendante sur un intervalle de 5 mg à 20 mg.
Dans une série d’essais pharmacocinétiques et cliniques, des concentrations plasmatiques plus élevées de desloratadine étaient atteintes chez 6 % des sujets. La fréquence d’un phenotype métaboliseur lent était du même ordre chez les adultes (6 %) et chez les enfants âgés de 2 à 11 ans (6 %), et était plus importante dans la population des sujets de race noire (18 % chez les adultes, 16 % chez les enfants) que dans la population des sujets caucasiens (2 % chez les adultes, 3 % chez les enfants) alors que le profil de sécurité chez ces sujets n’était pas différent de celui de la population générale.
Dans un essai de pharmacocinétique conduit en doses multiples avec la formulation comprimé chez les adultes volontaires sains, quatre sujets se sont révélés comme étant métaboliseurs lents de la desloratadine. Chez ces sujets la concentration plasmatique maximale (Cmax) était approximativement 3 fois plus élevée aux alentours de la 7eme heure avec une demi-vie terminale approximativement de 89 heures.
Les paramètres pharmacocinétiques observés étaient similaires lors d’une étude de pharmacocinétique en doses répétées réalisée avec la forme sirop chez des enfants métaboliseurs lents âgés de 2 à 11 ans avec un diagnostic de rhinite allergique. L’aire sous la courbe des concentrations de desloratadine (ASC) était environ 6 fois plus élevée et le Cmax environ 3 à 4 fois plus élevé à la 3-6ème heure avec une demi-vie terminale d’environ 120 heures. L’exposition était identique chez les adultes et les enfants métaboliseurs lents lorsqu’ils étaient traités aux doses appropriées. Le profil de sécurité du produit observé chez ces sujets n’était pas différent de celui de la population générale. Les effets de la desloratadine chez les métaboliseurs lents âgés de moins de 2 ans n’ont pas été étudiés.
Distribution
La desloratadine se lie modérément (83 % - 87 %) aux protéines plasmatiques. Après l’administration quotidienne de desloratadine en une prise par jour (5 mg à 20 mg) pendant 14 jours, aucun élément clinique n’évoquait une accumulation du produit.
Dans une étude clinique croisée menée avec une dose unique de desloratadine, la bioéquivalence des formulations comprimés et sirop a été démontrée. Etant donné que la solution buvable de desloratadine contient la même concentration de desloratadine, il n’a pas été réalisé d’étude de bioéquivalence et il est attendu une bioéquivalence avec les formes sirop et comprimé.
Dans d’autres études cliniques en dose unique, aux doses recommandées, les enfants avaient des valeurs d’ASC et de Cmax pour la desloratadine comparables à celles des adultes qui recevaient une dose de 5 mg de desloratadine sirop.
Biotransformation
L’enzyme impliquée dans le métabolisme de la desloratadine n’a pas encore été identifiée, et par conséquent, le risque d’interactions avec d’autres médicaments ne peut être totalement exclu. In vivo, la desloratadine n'inhibe pas le cytochrome P3A4. Les études in vitro ont montré que la substance active n'inhibe pas le cytochrome P2D6 et qu'elle n'est ni un substrat ni un inhibiteur de la P-glycoprotéine.
Dans une étude clinique menée avec une dose unique de 7,5 mg de desloratadine, le sort de la desloratadine n’a pas été modifié par l’alimentation (petit déjeuner hypercalorique, riche en graisse). Dans une autre étude, le jus de pamplemousse n’a pas modifié le sort de la desloratadine.
5.3. Données de sécurité préclinique
Les données non cliniques issues des études conventionnelles de pharmacologie de sécurité, toxicologie en administration répétée, génotoxicité, et des fonctions de reproduction, n’ont pas révélé de risque particulier pour l’homme. L’absence de potentiel carcinogène a été démontrée dans des études conduites avec la desloratadine et la loratadine.
6.4. Précautions particulières de conservation
Pas de précautions particulières de conservation.
Après première ouverture : pas de précautions particulières de conservation.
6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur
Les flacons sont conditionnés dans des boîtes en carton. Toutes les présentations sont fournies avec une cuillère mesure (CE 0373) graduée aux doses 2,5 ml et 5 ml ou d’une seringue (CE 0373) pour administration orale d’un volume final de 5 ml et graduée tous les 0,5 ml.
DESLORATADINE SANDOZ 0,5 mg/ml, solution buvable est disponible en présentations de 50 ml, 60 ml, 100 ml, 120 ml ou 150 ml. Les présentations de 50 ml et 60 ml sont conditionnées en flacons de 60 ml, les présentations de 100 ml sont conditionnées en flacons de 100 ml, les présentations de 120 ml sont conditionnées en flacons de 125 ml et les présentations de 150 ml sont conditionnées en flacons de 150 ml.
Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées.
6.6. Précautions particulières d’élimination et de manipulation
Manipulation de la seringue :
Après ouverture du flacon introduire la pointe de la seringue pour administration orale dans la solution. Puis, tirer le piston vers vous jusqu’à ajustement à la dose prescrite. Si vous remarquez des bulles d’air dans la seringue pour administration orale, tourner la seringue à la verticale, la pointe vers vous. Les bulles d’air se déplaceront vers l’extrémité de la seringue pour administration orale. Tirer le piston en arrière, vers vous, puis le repousser doucement dans la seringue pour administration orale afin d’éliminer les bulles d’air. Ne vous inquiétez pas s’il reste quelques bulles de très petite taille.
La solution prélevée doit être avalée directement à partir de la seringue.
Après utilisation, fermer le flacon, rincer la seringue vide avec de l’eau et laisser la sécher à l’air libre.
7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
49 AVENUE GEORGES POMPIDOU
92593 LEVALLOIS PERRET CEDEX
8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
· 34009 273 168 2 1 : 60 ml en flacon (verre brun) muni d’un bouchon sécurité enfant (propylène/LDPE) et d'une cuillère mesure.
· 34009 273 169 9 9 : 100 ml en flacon (verre brun) muni d’un bouchon sécurité enfant (propylène/LDPE) et d'une cuillère mesure.
· 34009 273 170 7 1 : 120 ml en flacon (verre brun) muni d’un bouchon sécurité enfant (propylène/LDPE) et d'une cuillère mesure.
· 34009 273 171 3 2 : 150 ml en flacon (verre brun) muni d’un bouchon sécurité enfant (propylène/LDPE) et d'une cuillère mesure.
· 34009 273 173 6 1 : 50 ml en flacon (verre brun) muni d'un bouchon sécurité enfant (polypropylène/LDPE) et d'une seringue pour administration orale.
· 34009 273 174 2 2 : 60 ml en flacon (verre brun) muni d'un bouchon sécurité enfant (polypropylène/LDPE) et d'une seringue pour administration orale.
· 34009 273 175 9 0 : 100 ml en flacon (verre brun) muni d'un bouchon sécurité enfant (polypropylène/LDPE) et d'une seringue pour administration orale.
· 34009 273 176 5 1 : 120 ml en flacon (verre brun) muni d'un bouchon sécurité enfant (polypropylène/LDPE) et d'une seringue pour administration orale.
· 34009 273 177 1 2 : 150 ml en flacon (verre brun) muni d'un bouchon sécurité enfant (polypropylène/LDPE) et d'une seringue pour administration orale.
9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DE L’AUTORISATION
[A compléter ultérieurement par le titulaire]
10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE
[A compléter ultérieurement par le titulaire]
Sans objet.
12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACEUTIQUES
Liste II.