RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT

ANSM - Mis à jour le : 04/08/2017

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT

RANITIDINE ACCORD 150 mg, comprimé pelliculé

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

Chlorhydrate de ranitidine................................................................................................ 167,50 mg

Quantité correspondant à ranitidine base........................................................................... 150,00 mg

Pour un comprimé pelliculé.

Excipient à effet notoire : chaque comprimé pelliculé contient 1,520 mg d’huile de ricin.

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE

Comprimé pelliculé.

Comprimé pelliculé jaune crème, rond, biconvexe, d’environ 10 mm de diamètre, portant l’inscription « IL » sur une face et sans inscription sur l’autre face.

4. DONNEES CLINIQUES

4.1. Indications thérapeutiques

Adultes

· Ulcère duodénal

· Ulcère gastrique bénin

· Traitement au long cours des ulcères duodénaux

· Œsophagite de reflux

· Syndrome de Zollinger-Ellison.

Enfants âgés de 3 à 18 ans

· Traitement à court terme des ulcères peptiques

· Traitement du reflux gastro-œsophagien, notamment l’œsophagite de reflux, et soulagement symptomatique du reflux gastro-œsophagien pathologique.

4.2. Posologie et mode d'administration

Avaler les comprimés avec une boisson. Il n’est pas nécessaire de prendre les comprimés au cours d’un repas.

Adultes (y compris les personnes âgées) / adolescents (12 ans ou plus)

Les recommandations posologiques suivantes s’appliquent aux adultes (y compris les personnes âgées) et aux adolescents (âgés de 12 ans ou plus) dont la fonction rénale est normale :

Pour l’ulcère duodénal et l’ulcère gastrique bénin

2 comprimés de RANITIDINE ACCORD 150 mg (= 300 mg de ranitidine) après le repas du soir ou au coucher. Ou bien 1 comprimé de RANITIDINE ACCORD 150 mg deux fois par jour, 1 le matin et 1 le soir.

La durée du traitement est de 4 semaines. Chez les quelques patients dont les ulcères n’ont pas complètement cicatrisé après 4 semaines de traitement, celui-ci doit être poursuivi pendant 4 semaines supplémentaires selon la même posologie.

Pour le traitement au long cours de l’ulcère duodénal

Les patients ayant répondu au traitement à court terme de ce type et en particulier les patients ayant des antécédents de récidives d’ulcères peuvent, si nécessaire, poursuivre le traitement avec 1 comprimé de RANITIDINE ACCORD 150 mg par jour au coucher. Ces patients doivent subir un examen endoscopique à intervalles réguliers.

Pour l’œsophagite de reflux

2 comprimés de RANITIDINE ACCORD 150 mg (= 300 mg de ranitidine) après le repas du soir ou au coucher. Ou bien 1 comprimé de RANITIDINE ACCORD 150 mg deux fois par jour, pendant une période maximum de 8 semaines si nécessaire.

Les patients ayant de très fortes sécrétions d’acide gastrique, par exemple dans le syndrome de Zollinger-Ellison doivent initialement être traités à l’aide d’1 comprimé de RANITIDINE ACCORD 150 mg trois fois par jour (= 450 mg de ranitidine par jour). Si nécessaire, cette dose peut être augmentée jusqu’à 4 à 6 comprimés de RANITIDINE ACCORD 150 mg par jour (= 600 – 900 mg de ranitidine par jour).

Les patients peuvent être stabilisés à l’aide d’une dose plus élevée (par ex., 1200 mg par jour) si cela est jugé nécessaire sur le plan clinique. Des doses quotidiennes allant jusqu’à 6 g de ranitidine ont été administrées. Les doses peuvent être prises en dehors des repas.

Enfants âgés de 12 ans et plus

Chez les enfants âgés de 12 ans et plus, les posologies adultes sont recommandées.

Enfants âgés de 3 à 11 ans et pesant plus de 30 kg

Voir rubrique 5.2 Propriétés pharmacocinétiques – Populations particulières de patients.

Traitement aigu de l’ulcère peptique

La dose orale recommandée pour le traitement de l’ulcère peptique chez l’enfant est de 4 mg/kg/jour à 8 mg/kg/jour, administrée en deux doses fractionnées, jusqu’à une dose maximale de 300 mg de ranitidine par jour pendant une période de 4 semaines. Pour les patients dont la cicatrisation est incomplète, il est indiqué de poursuivre le traitement pendant 4 semaines supplémentaires, car la cicatrisation survient normalement après 8 semaines de traitement.

Reflux gastro-œsophagien

La dose orale recommandée pour le traitement du reflux gastro-œsophagien chez l’enfant est de 5 mg/kg/jour à 10 mg/kg/jour, administrée en deux doses fractionnées, jusqu’à une dose maximale de 600 mg (la dose maximale est susceptible de concerner les enfants ou adolescents de poids plus élevé présentant des symptômes sévères).

Nouveau-nés

La sécurité d’emploi et l’efficacité n’a pas été établie chez les patients nouveau-nés.

Schéma posologique pour les patients insuffisants rénaux

Chez les patients insuffisants rénaux (clairance de la créatinine inférieure à 50 ml/min), il se produit une accumulation de ranitidine donnant lieu à des concentrations plasmatiques élevées. Une dose quotidienne de 150 mg est recommandée chez ces patients.

La ranitidine est dialysable. L’hémodialyse entraîne une diminution des taux sanguins de ranitidine. Chez les patients sous dialyse, la ranitidine doit donc être administrée après la dialyse.

4.3. Contre-indications

Ranitidine Accord est contre-indiqué chez les patients présentant une hypersensibilité connue à la substance active ou à l'un des composants de ce médicament.

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi

Malignité

Il convient d’exclure la possibilité d’une pathologie cancéreuse avant l’initiation du traitement chez les patients ayant un ulcère gastrique, compte tenu que le traitement par la ranitidine peut masquer les symptômes d’un cancer gastrique.

Insuffisance rénale

La ranitidine est éliminée par voie rénale, aussi les taux plasmatiques du médicament augmentent chez les patients présentant une insuffisance rénale. En cas d’insuffisance rénale, la posologie doit être ajustée (voir rubrique 4.2).

Il est recommandé de procéder à une surveillance régulière des patients traités par des anti-inflammatoires non stéroïdiens et par la ranitidine, en particulier chez les patients âgés et les patients ayant des antécédents d’ulcère peptique.

De rares rapports cliniques suggèrent que la ranitidine peut précipiter des crises de porphyrie aiguë. Il convient donc de s'abstenir d'utiliser ce médicament chez les personnes ayant des antécédents de porphyrie aiguë.

Chez les patients tels que les sujets âgés, les sujets atteints d’une maladie pulmonaire chronique, de diabète ou immunodéprimés, il pourrait y avoir un risque accru de développer une pneumonie communautaire acquise.

Une large étude épidémiologique a montré une augmentation du risque de développer une pneumonie communautaire acquise chez les sujets prenant de la ranitidine seule en comparaison avec ceux qui avaient arrêté le traitement, avec un risque relatif ajusté de 1,82 (95% IC 1,26-2,64).

Ce médicament contient de l’huile de ricin et peut provoquer des troubles digestifs (effet laxatif léger, diarrhée).

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions

La ranitidine est susceptible d’altérer l’absorption, le métabolisme ou l’excrétion rénale d’autres médicaments. La modification de la pharmacocinétique peut nécessiter un ajustement posologique du médicament concerné ou l’arrêt du traitement.

Ces interactions se produisent selon plusieurs mécanismes, notamment :

1) Inhibition du système des oxygénases à fonction mixte lié au cytochrome P450 :

Aux doses thérapeutiques normales, la ranitidine ne potentialise pas les effets des médicaments qui sont inactivés par ce système enzymatique, tels que le diazépam, la lidocaïne, la phénytoïne, le propranolol et la théophylline.

Des cas d’altération du temps de prothrombine ont été rapportés avec les anticoagulants coumariniques (par ex., la warfarine). Compte tenu de l’indice thérapeutique étroit, il est recommandé de procéder à une surveillance étroite de toute augmentation ou diminution du temps de prothrombine lors d’un traitement concomitant par la ranitidine.

2) Compétition pour la sécrétion tubulaire rénale :

La ranitidine étant partiellement éliminée par le système cationique, elle peut affecter la clairance d’autres médicaments éliminés par cette voie. Des doses élevées de ranitidine (telles que celles utilisées dans le traitement du syndrome de Zollinger-Ellison) peuvent réduire l’excrétion du procaïnamide et du N-acétylprocaïnamide, ce qui entraîne une augmentation des concentrations plasmatiques de ces médicaments.

3) Altération du pH gastrique :

La biodisponibilité de certains médicaments peut être affectée. Ceci peut entraîner soit une augmentation de l’absorption (par ex., triazolam, midazolam, glipizide) ou une diminution de l’absorption (par ex., kétoconazole, itraconazole, posaconazole, atazanavir, délavirdine, géfitinib).

Il n’y a pas de preuve de l’existence d’interactions entre la ranitidine et l’amoxicilline ou le métronidazole.

Si des doses élevées (2 g) de sucralfate sont co-administrés avec la ranitidine l'absorption de cette dernière peut être réduite. Cet effet n’est pas observé si le sucralfate est pris 2 heures après la prise de ranitidine.

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement

Grossesse

La ranitidine traverse la barrière placentaire. Comme les autres médicaments, la ranitidine ne doit être utilisée pendant la grossesse que si cela est jugé essentiel.

Allaitement

La ranitidine passe dans le lait maternel. Comme les autres médicaments, la ranitidine ne doit être utilisée pendant l’allaitement que si cela est jugé essentiel.

Fertilité

Aucune donnée sur l’effet de la ranitidine sur la fertilité chez l’Homme n’est disponible. Les études chez l’animal n’ont pas mis en évidence d’effet sur la fertilité des mâles et des femelles (voir rubrique 5.3).

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines

Sans objet.

4.8. Effets indésirables

Les effets indésirables sont classés par fréquence, en utilisant la classification suivante : très fréquents (> 1/10) ; fréquents (>1/100, <1/10) ; peu fréquents (>1/1000, < 1/100) ; rares (>1/10000, < 1/1000), très rares (<1/10000), fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).

Les fréquences des effets indésirables ont été estimées à partir des notifications spontanées après commercialisation.

Affections hématologiques et du système lymphatique

Très rare : modifications de la formule sanguine (leucopénie, thrombocytopénie). Ces modifications sont en général réversibles. Agranulocytose ou pancytopénie, parfois accompagnée d’hypoplasie médullaire ou d’aplasie médullaire.

Affections du système immunitaire

Rare : réactions d’hypersensibilité (urticaire, œdème angioneurotique, fièvre, bronchospasme, hypotension et douleur thoracique).

Très rare : choc anaphylactique.

Fréquence indéterminée : dyspnée

Ces effets ont été rapportés après administration d’une dose unique.

Affections psychiatriques

Très rare : confusion mentale réversible, dépression, agitation et hallucinations.

Ces effets sont principalement rapportés chez des patients gravement malades, âgés et/ou nephropathiques.

Affections du système nerveux

Très rare : étourdissements, céphalées (parfois sévères), troubles moteurs involontaires réversibles.

Affections oculaires

Très rare : vision trouble réversible. Des cas de vision trouble ont été rapportés, ce qui suggère une modification de l’accommodation.

Affections cardiaques

Très rare : Comme avec les autres antagonistes des récepteurs H2 bradycardie, bloc auriculo-ventriculaire et la tachycardie (pour toutes les formulations).

Affections vasculaires

Très rare : vascularite.

Affections gastro-intestinales

Peu fréquent : constipation, nausées, douleur abdominale. Ces symptômes s’améliorent en général avec la poursuite du traitement

Très rare : pancréatite aiguë, diarrhée.

Affections hépatobiliaires

Rare : des modifications passagères et réversibles des résultats aux tests de la fonction hépatique

Très rare : hépatite (hépatocellulaire, hépato-canaliculaire ou mixte) accompagnée ou non de jaunisse.

Ces modifications étaient en général réversibles après l’arrêt du traitement.

Affections de la peau et du tissu sous-cutané

Rare : éruption cutanée

Très rare : érythème polymorphe, chute des cheveux (alopécie)

Affections musculo-squelettiques et systémiques

Très rare : arthralgie, myalgie.

Affections rénales et urinaires

Rare : augmentation de la créatinine plasmatique.

Très rare : néphrite interstitielle aiguë.

Affections des organes de reproduction et du sein

Très rare : symptômes mammaires et pathologies mammaires (tels que gynécomastie et galactorrhée), impuissance réversible.

Population pédiatrique :

La sécurité d’emploi de la ranitidine a été établie chez les enfants âgés de 0 à 16 ans présentant des affections liées à l’acide gastrique, généralement bien tolérées avec un profil d'effets indésirables semblable à celui chez les adultes. Le profil d’effets indésirables est similaire à celui de l’adulte. On dispose de données limitées à propos de la sécurité d’emploi à long terme, en particulier en ce qui concerne la croissance et le développement.

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet: www.ansm.sante.fr.

4.9. Surdosage

Symptômes et signes

La ranitidine a une action très spécifique et aucun problème particulier n’est attendu suite à un surdosage quelle que soit la formulation de ranitidine.

Traitement

Un traitement symptomatique et de soutien devra être administré si besoin.

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES

5.1. Propriétés pharmacodynamiques

Classe pharmacothérapeutique : antagoniste des récepteurs H2, code ATC : A02BA02

La ranitidine est un antagoniste compétitif des récepteurs H2 de l’histamine. Elle inhibe la sécrétion d’acide gastrique basale et la sécrétion d’acide gastrique stimulée par exemple par l’histamine, la pentagastrine et les aliments. La ranitidine réduit la quantité d’acide et dans une moindre mesure, de pepsine, et réduit le volume des sucs gastriques.

Lors de deux études dans lesquelles des doses thérapeutiques de ranitidine 150 mg deux fois par jour étaient utilisées, la sécrétion d’acide gastrique a été diminuée en moyenne de 63 % et de 69 % respectivement en 24 heures, avec des diminutions de 73 % et 90 % respectivement de la sécrétion acide nocturne. Lors de deux études qui utilisaient la dose recommandée pour la prophylaxie des récidives (150 mg au coucher), la ranitidine a entraîné une diminution moyenne de la sécrétion d’acide gastrique de 42 % et 69 % respectivement en 24 heures.

La sécrétion d’acide gastrique a été diminuée en moyenne de 50 à 60 % en 24 heures après la prise de la dose thérapeutique de 300 mg de ranitidine au coucher, alors que la sécrétion acide nocturne a été diminuée d’environ 90 %.

5.2. Propriétés pharmacocinétiques

Absorption

Après une administration orale, la ranitidine est rapidement absorbée et les concentrations sanguines maximales sont atteintes en moyenne après 1,25 – 3 heures. La biodisponibilité moyenne de la ranitidine sous forme de comprimé est d’environ 50 %, mais la variation interindividuelle de la biodisponibilité est élevée, comprise entre 28 et 76 % (tel que décrit dans le cadre d’une étude).

Distribution

La liaison aux protéines plasmatiques est d’environ 15 %. Le volume apparent de distribution chez l’adulte est de 1,2 – 1,8 l/kg et chez l’enfant, de 2,5 l/kg.

Après ingestion orale de 150 mg de ranitidine sous forme de comprimé, des concentrations plasmatiques maximales d’environ 400 ng/ml sont atteintes, avec une grande variabilité d’un individu à l’autre. Après 12 heures, les concentrations plasmatiques moyennes étaient toujours d’environ 40 ng/ml. Après une prise de 300 mg de ranitidine, des concentrations plasmatiques d’environ 700 – 800 ng/ml ont été atteintes.

Un certain nombre d’études ont montré que la concentration plasmatique requise pour obtenir une inhibition de 50 % de la sécrétion acide chez l’adulte était en moyenne de 73 – 165 ng/ml.

La ranitidine passe en très petites quantités dans le liquide céphalo-rachidien.

Biotransformation

La ranitidine est métabolisée dans le foie en ranitidine-N-oxyde, N-desméthylranitidine, ranitidine S-oxyde et en analogue de l’acide furoïque.

Elimination

Les mesures de la clairance totale donnent des valeurs moyennes de 570 – 710 ml/min chez l’adulte. Chez les enfants et les adolescents, une clairance totale de près de 800 ml/min/1,73 m2 est observée, avec un degré important de dispersion. Après ingestion orale, la ranitidine est excrétée en l’espace de 24 heures par les reins, 30 % environ sous forme de ranitidine inchangée, jusqu’à 6 % environ sous forme de N-oxyde, et dans une moindre mesure, sous les formes desméthylée et S-oxyde, et sous forme de l’analogue de l’acide furoïque. Chez les patients dont la fonction rénale est normale, l’excrétion rénale fait principalement intervenir la sécrétion tubulaire, avec une clairance rénale d’environ 490 – 520 ml/min. La ranitidine est aussi excrétée par la bile.

Populations particulières

Enfants (âgés de 3 ans ou plus)

Les données pharmacocinétiques limitées ont montré qu’il n’y a pas de différences significatives en termes de demi-vie (la plage de valeurs pour les enfants âgés de 3 ans ou plus est de 1,7 – 2,2 h) et de clairance plasmatique (la plage de valeurs pour les enfants âgés de 3 ans ou plus est de 9 – 22 ml/min/kg) entre des enfants et des adultes en bonne santé recevant de la ranitidine par voie orale, après correction du poids corporel.

5.3. Données de sécurité préclinique

Les données non cliniques issues des études conventionnelles de pharmacologie de sécurité, toxicologie en administration répétée, génotoxicité, cancérogénèse, et des fonctions de reproduction, n’ont pas révélé de risque particulier pour l’homme.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES

6.1. Liste des excipients

Noyau :

Cellulose microcristalline.

Croscarmellose sodique.

Silice colloïdale anhydre.

Talc purifié.

Stéarate de magnésium.

Pelliculage :

Hypromellose.

Huile de ricin.

Dioxyde de titane (E171).

Oxyde de fer jaune (E172).

Talc purifié.

6.2. Incompatibilités

Sans objet.

6.3. Durée de conservation

3 ans.

6.4. Précautions particulières de conservation

Ce médicament ne nécessite pas de précautions particulières de conservation.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur

Boîte de 30, 60 et 100 comprimés pelliculés sous plaquettes (Aluminium/Aluminium).

Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées.

6.6. Précautions particulières d’élimination et de manipulation

Pas d’exigences particulières.

Tout produit non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

ACCORD HEALTHCARE FRANCE SAS

45 RUE DU FAUBOURG DE ROUBAIX

59000 LILLE

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

· 34009 269 596 3 0 : 30 comprimés sous plaquettes (Aluminium/Aluminium).

· 34009 269 598 6 9 : 60 comprimés sous plaquettes (Aluminium/Aluminium).

· 34009 584 490 3 1 : 100 comprimés sous plaquettes (Aluminium/Aluminium).

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DE L’AUTORISATION

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

11. DOSIMETRIE

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACEUTIQUES

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste II.