RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT
ANSM - Mis à jour le : 10/11/2017
CLARELUX 500 microgrammes/g, crème
2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE
Pour 1 g de crème.
Excipients à effet notoire :
- alcool cétostéarylique 84 mg/g
- propylène glycol 475 mg/g
Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.
4.1. Indications thérapeutiques
· Plaques limitées et résistantes
o de psoriasis particulièrement dans leurs localisations palmo-plantaires,
o de lichénifications (névrodermites),
o de lupus érythémateux discoïde,
o de lichens.
· Cicatrices hypertrophiques.
· Lésions cortico-sensibles non infectées, ayant résisté à un corticoïde de la catégorie inférieure et limitées en surface.
Remarque :
· Après un traitement d'attaque généralement bref, le relais est éventuellement assuré par un corticoïde de niveau inférieur.
· Chaque dermatose doit être traitée par un corticoïde de niveau le mieux approprié en sachant qu'en fonction des résultats, on peut être conduit à lui substituer un produit d'une activité plus forte ou moins forte sur tout ou partie des lésions.
La forme crème est plus particulièrement destinée aux lésions aiguës, suintantes.
4.2. Posologie et mode d'administration
Utilisation chez l’adulte
CLARELUX 500 microgrammes/g, crème est un corticostéroïde topique hautement puissant, par conséquent, des quantités supérieures à 50 g par semaine ne doivent pas être utilisées.
Voie d’administration : pour usage cutané
Le traitement doit être limité à 1 à 2 applications par jour.
Une augmentation du nombre d'applications quotidiennes risquerait d'aggraver les effets indésirables sans améliorer les effets thérapeutiques.
Le traitement de grandes surfaces nécessite une surveillance du nombre de tubes utilisés.
Comme pour les autres préparations corticostéroïdes topiques hautement actives, le traitement doit être interrompu lorsque le contrôle des lésions est obtenu. Pour les affections répondant mieux au traitement, cet arrêt peut s’effectuer après quelques jours. Si aucune amélioration n’est observée dans les 2 semaines, une réévaluation du diagnostic ou le renvoi vers un spécialiste peut s’avérer nécessaire.
Certaines dermatoses (psoriasis, dermatite atopique...) rendent souhaitable un arrêt progressif. Il peut être obtenu par la diminution de fréquence des applications et/ou par l'utilisation d'un corticoïde moins fort ou moins dosé.
Population pédiatrique
Clarelux est contre-indiqué chez les nourrissons âgés de moins de 2 ans (voir rubrique 4.3).
L’utilisation de CLARELUX n’est pas recommandée chez l’enfant de moins de 12 ans et doit le cas échéant faire l’objet d’une surveillance médicale stricte.
Mode d’administration
Il est conseillé d'appliquer le produit en touches espacées, puis de l'étaler en massant légèrement jusqu'à ce qu'il soit entièrement absorbé.
Se laver les mains après utilisation.
· Hypersensibilité à la substance active, à d’autres corticoïdes ou à l’un des excipients mentionnés à la rubrique 6.1.
· Infections primitives bactériennes, virales, fongiques ou parasitaires.
· Lésions ulcérées, brûlures.
· Acné.
· Rosacée.
· Dermatite périorale.
· Prurit génital ou péri-anal.
· Application sur les paupières (risque de glaucome).
· Nourrisson.
4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi
Hypersensibilité
CLARELUX 500 microgrammes/g, crème doit être utilisé avec précautions chez les patients ayant des antécédents d’hypersensibilité locale aux corticostéroïdes ou à l’un des excipients de la préparation. Les réactions d’hypersensibilité locales peuvent ressembler aux symptômes de la maladie sous traitement. Le traitement doit être arrêté immédiatement si des signes d’hypersensibilité apparaissent.
Infections et infestations
L’utilisation de CLARELUX 500 microgrammes/g, crème sur les plaies ou ulcérations n’est pas recommandée. Une infection secondaire peut se développer. Les conditions chaudes et humides induites par les pansements occlusifs sont propices au développement d’infections bactériennes, la peau doit donc être nettoyée avant l’application d’un nouveau pansement. Toute propagation d’infection nécessite l’arrêt du traitement par corticostéroïde topique et l’administration d’un traitement antimicrobien approprié.
Inhibition surrénale
Des manifestations d’hypercorticisme (syndrome de Cushing) et d’inhibition réversible de l’axe Hypothalamo-Hypophyso-Surrénalien (HHS), conduisant à une insuffisance glucocorticostéroïdienne, peuvent survenir chez certaines personnes, particulièrement chez les enfants en raison de l’absorption systémique accrue des stéroïdes topiques.
Si l’une de ces manifestations est observée, le médicament doit être arrêté progressivement en diminuant la fréquence d’application ou en substituant par un corticostéroïde moins puissant. L’arrêt brutal du traitement peut entrainer une insuffisance glucocorticostéroïdienne (voir rubrique 4.8).
Le traitement topique en continu et à long terme doit être évité car l’inhibition surrénale peut se produire facilement même sans utilisation d’un pansement occlusif. Dès l’amélioration des lésions ou après une période de traitement de maximum 4 semaines, il faut passer à une thérapie intermittente ou envisager le remplacement par un stéroïde plus faible.
Précautions d'emploi
Absorption systémique accrue des stéroïdes topiques
L’absorption systémique accrue des stéroïdes topiques peut conduire à l’apparition d’effets indésirable systémique (e.g. inhibition surrénale, immunosuppression). L’absorption systémique accrue des stéroïdes topiques peut être facilitée par :
- une exposition à long terme,
- une application sur des zones étendues,
- une application sur des zones de peau occluses (e.g. plis cutanés ou sous pansement occlusif),
- une application sur des zones fines (e.g. visage),
- une application sur une peau éraflée ou lors d’autres conditions où la barrière cutanée peut être altérée.
Sauf en cas de surveillance médicale, CLARELUX microgrammes/g, crème ne doit pas être utilisé sous pansement occlusif.
Phénomène de rebond
En cas d’arrêt brutal d’une utilisation prolongée, on peut observer un phénomène de rebond se manifestant sous la forme d’une rougeur, de picotements ou d’une sensation de brûlure au niveau de la peau. On peut éviter cet effet en arrêtant progressivement le traitement.
L’utilisation de corticoïdes topiques peut s’avérer risquée car des récidives liées à un rebond peuvent survenir suite au développement d'une dépendance. Les patients peuvent également être exposés au risque de développer un psoriasis pustuleux généralisé et une toxicité locale ou systémique due à une altération de la fonction barrière de la peau. Il est important de surveiller attentivement le patient.
Utilisation sur le visage
Plus que les autres zones du corps, le visage peut présenter des modifications atrophiques suite à un traitement prolongé par corticostéroïdes topiques puissants. Il faut en tenir compte lorsqu'on traite des affections telles que le psoriasis, le lupus érythémateux discoïde ou l’eczéma sévère.
CLARELUX 500 microgrammes/g, crème ne doit pas être utilisé sur le visage, sauf en cas d’absolue nécessité. En cas d’utilisation sur le visage, il faut si possible limiter les cures à une durée de cinq jours et l’occlusion ne doit pas être utilisée.
Affections oculaires
Les traitements systémiques par corticostéroïdes sont associés à l’apparition de glaucome ou de cataracte. Ce risque a également été rapporté pendant le traitement ophtalmique et pendant l’application locale et régulière de corticostéroïde sur les paupières. De plus, il y a eu des rapports de cataracte et de glaucome chez des patients après utilisation excessive et prolongée de corticostéroïde topique puissant sur le visage et/ou le corps.
Bien que l’effet hypertenseur du stéroïde topique est généralement réversible après arrêt du traitement, les dommages visuels résultant du glaucome ou de la cataracte sont irréversibles.
CLARELUX 500 microgrammes/g, crème ne doit pas être appliqué sur les paupières.
Les patients doivent laver leurs mains après chaque application pour éviter le contact de CLARELUX 500 microgrammes/g, crème avec l’œil. Si CLARELUX 500 microgrammes/g, crème rentre en contact avec les yeux, l’œil affecté doit être rincé abondamment à l’eau.
La cataracte et le glaucome doivent être dépistés régulièrement chez les patients sous traitement prolongés par stéroïdes topiques puissants et plus particulièrement chez les patients ayant des facteurs de risque connus pour la cataracte (e.g. diabétiques, fumeurs) ou pour le glaucome (e.g. antécédents familiaux ou personnels de glaucome).
Population pédiatrique
En comparaison avec les adultes, les enfants et les nourrissons peuvent absorber proportionnellement de plus grandes quantités de corticostéroïdes topiques et sont donc plus sensibles aux effets indésirables systémiques. Cela est du à l’immaturité de la barrière cutanée et a un ratio entre la surface et le poids du corps plus élevé chez les enfants que chez les adultes. Ces effets indésirables systémiques peuvent être un syndrome de type Cushing ou un retard de croissance. Ces effets sont réversibles à l’arrêt du traitement mais un arrêt brutal peut entraîner une insuffisance surrénale aiguë.
En cas d’utilisation chez l’enfant, il faut si possible limiter les cures à une durée de cinq jours. En effet, il faut éviter une thérapie topique continue prolongée, en particulier chez les enfants, car une inhibition surrénale peut survenir rapidement même en l’absence d’un pansement occlusif.
Néanmoins, si une utilisation prolongée de CLARELUX 500 microgrammes/g, crème s’avère nécessaire chez l’enfant, il est conseillé de réévaluer le traitement chaque semaine. Chez les enfants, l’occlusion ne doit pas être utilisée. Il faut noter que les langes peuvent exercer le même effet qu’un pansement occlusif.
Excipients à effet notoire
Ce médicament contient de l’alcool cétostéarylique et peut provoquer des réactions cutanées locales (par exemple : eczéma).
Ce médicament contient du propylène glycol et peut provoquer des irritations cutanées.
4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions
Aucune interaction n’a été rapportée.
4.6. Fertilité, grossesse et allaitement
Grossesse
Chez l’animal, l’administration de corticoïdes pendant la gestation peut causer des anomalies du développement fœtal (voir rubrique 5.3). Aucune étude adéquate et bien contrôlée n’a été réalisée avec le propionate de clobétasol chez la femme enceinte. Des études épidémiologiques réalisées chez des femmes enceintes ayant absorbé des corticoïdes par voie orale ont révélé un risque faible ou nul de fente palatine.
CLARELUX 500 microgrammes/g, crème ne doit pas être utilisé pendant la grossesse sauf en cas d’absolue nécessité.
Allaitement
La sécurité d’utilisation du propionate de clobétasol n’a pas été établie pendant l’allaitement.
Les glucocorticoïdes passent dans le lait maternel. CLARELUX 500 microgrammes/g, crème ne doit donc pas être utilisé chez la femme qui allaite, sauf en cas d’absolue nécessité.
Fertilité
Il n'y a pas d'information sur les effets possibles du propionate de clobétasol sur la fertilité masculine ou féminine.
4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines
Résumé du profil de tolérance
Comme c’est le cas avec les autres corticostéroïdes topiques, l’utilisation prolongée de quantités importantes ou le traitement de zones étendues peut donner lieu à une inhibition de la fonction surrénale. La survenue de cet effet est plus probable chez les nourrissons et les enfants, et en cas d’utilisation de pansements occlusifs. Chez les nourrissons, la couche peut exercer le même effet qu’un pansement occlusif. Chez l’adulte, cet effet est probablement transitoire si la posologie hebdomadaire ne dépasse pas 50 g.L'utilisation prolongée et intensive de corticostéroïdes d'activité très forte et forte peut causer des modifications atrophiques locales de la peau comme une atrophie cutanée, des ecchymoses secondaires à l’atrophie cutanée, une fragilité cutanée, des télangiectasies (à redouter particulièrement sur le visage), des vergetures (à la racine des membres notamment, et survenant plus volontiers chez les adolescents) (voir rubrique 4.4).
D’autres effets indésirables locaux associés à l’utilisation de glucocorticostéroïdes incluent une dermatite péri-orale, une dermatite de type rosacée, un retard de cicatrisation des plaies, un phénomène de rebond pouvant donner lieu à une dépendance aux corticostéroïdes et des effets oculaires. Une élévation de la pression intraoculaire et un risque accru de cataracte constituent des effets indésirables connus des glucocorticostéroïdes (voir rubrique 4.4).
Dans de rares cas, le traitement d’un psoriasis par des corticostéroïdes (ou son arrêt) semble avoir induit la survenue de la forme pustuleuse de la maladie (voir rubrique 4.4).
Une infection secondaire peut se développer. Les conditions chaudes et humides induites par les pansements occlusifs sont propices au développement d’infections bactériennes, la peau doit donc être nettoyée avant l’application d’un nouveau pansement. Si le produit n’est pas utilisé correctement, des infections bactériennes, virales, parasitaires ou fongiques peuvent être masquées et/ou s’aggraver (voir rubrique 4.4). Des folliculites ont été rapportées.
Une allergie de contact à l’un des composants de CLARELUX 500 microgrammes/g, crème peut également survenir. En cas de survenue de signes d’hypersensibilité, il faut arrêter immédiatement les applications. Une exacerbation des symptômes peut survenir.
Liste tabulée des effets indésirables
Les effets indésirables observés avec ce médicament sont répertoriés ci-dessous par classe d’organe et selon les fréquences suivantes : très fréquent (≥ 1/10), fréquent (≥ 1/100, < 1/10), peu fréquent (≥ 1/1 000, < 1/100), rare (≥ 1/10 000, < 1/1 000) et très rare (< 1/10 000), fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
Classe d’organes |
Peu fréquent |
Très rare |
Fréquence indéterminée |
Infections et infestations |
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Infections secondaires Folliculite |
Affections du système immunitaire |
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Réaction d’hypersensibilité Allergie de contact à l’un des excipients |
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Affections endocriniennes |
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Inhibition du système hypophyso-surrénalien: syndrome de Cushing Retard de croissance Hypertension intracrânienne |
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Affections du système nerveux |
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Paresthésie |
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Affections oculaires |
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Irritation occulaire |
Cataracte |
Affections de la peau et du tissus sous-cutané |
Télangiectasie Atrophie cutanée Vergetures |
Sensation de brûlure au niveau de la peau Irritation cutanée Sensibilité et tension cutanée Prurit Erythème Hypertrichose Dermatite (NOS), Dermatite de contact Urticaire Psoriasis pustuleux Psoriasis aggravé |
Ecchymoses Dermatite péri-orale Dermatite acnéiforme Rash pustuleux Dépigmentation cutanée Eschares Ulcère des jambes Rosacée aggravée Fragilité cutanée |
Troubles généraux et anomalies au site d'administration |
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Changement de pigmentation au site d’application Exacerbation de la maladie |
Retard de cicatrisation |
Investigations |
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Hématurie augmentation du volume globulaire moyen protéinurie azote urinaire |
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Population pédiatrique
Chez les enfants traités par des corticostéroïdes topiques, on a décrit les effets suivants : dépression de l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien, syndrome de Cushing, retard de croissance (en taille et en poids) et hypertension intracrânienne. Chez les enfants, les symptômes d’hypoadrénalisme secondaire incluent des taux plasmatiques faibles de cortisol et l’absence de réaction au test de stimulation à l’ACTH. Les symptômes d’hypertension intracrânienne incluent un bombement de la fontanelle, des céphalées, un œdème papillaire bilatéral.
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.ansm.sante.fr.
Le surdosage aigu est très improbable, cependant en cas de surdosage chronique ou de mésusage, des signes d’hypercorticisme peuvent apparaître et le traitement doit être arrêté progressivement. Cependant, à cause du risque de suppression surrénale aiguë, ceci doit être fait sous surveillance médicale.
5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES
5.1. Propriétés pharmacodynamiques
Classe pharmacothérapeutique : Corticoïdes d’activité très forte, Code ATC : D07A D01
Comme les autres corticostéroïdes topiques, le propionate de clobétasol a une activité anti-inflammatoire, anti-prurigineuse et des propriétés vasoconstrictrices. D’une manière générale, le mécanisme de l’activité anti-inflammatoire des corticostéroïdes topiques n’est pas élucidé. Cependant, les corticostéroïdes agiraient par une induction des protéines inhibitrices de la phospholipase A2, dénommées lipocortines.
Il est postulé que ces protéines contrôlent la biosynthèse de médiateurs puissants de l’inflammation comme les prostaglandines et les leucotriènes en inhibant la libération de leur précurseur commun, l’acide arachidonique.
L’acide arachidonique est libéré des phospholipides de la membrane par la phospholipase A2.
5.2. Propriétés pharmacocinétiques
L’inflammation et les processus d’autres pathologies peuvent augmenter l’absorption cutanée.
Il n’y a aucune donnée chez l’homme concernant la distribution des corticostéroïdes au niveau des organes après une application topique. Néanmoins, une fois absorbés au niveau de la peau, les corticostéroïdes topiques suivent les voies pharmacocinétiques semblables à l’absorption systémique, c’est-à-dire métabolisés au niveau du foie, dans un premier temps, puis excrétés par les reins. Le propionate de clobétasol ne s’accumule pas après administration chez le rat.
5.3. Données de sécurité préclinique
Dans les études de toxicité congénitale chez le lapin et la souris, le propionate de clobétasol s’est révélé tératogène lorsqu’il était administré par voie sous-cutanée à de faibles doses. Dans une étude d’embryotoxicité réalisée sur des rats par voie topique, un retard de croissance fœtale, des malformations du squelette et des viscères ont été observées à des doses relativement faibles. La pertinence de ces données chez l’homme après applications dermiques de propionate de clobétasol n’est pas connue.
Au vue des données disponibles, le propionate de clobétasol n’a pas révélé de potentiel génotoxique.
Les études à long terme chez l’animal n’ont pas été conduites dans le but d’évaluer le potentiel carcinogène du propionate de clobétasol.
Avant ouverture : 24 mois.
Après ouverture : 7 semaines.
6.4. Précautions particulières de conservation
A conserver à une température ne dépassant pas +30°C.
Pour les conditions de conservation du médicament après première ouverture, voir la rubrique 6.3.
6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur
Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées.
6.6. Précautions particulières d’élimination et de manipulation
Sans objet.
7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
45, place Abel Gance
92100 BOULOGNE
8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
· 387 087-1 ou 34009 387 087 1 4 : 30g en tube (aluminium verni) avec bouchon (PEHD).
· 387 095-4 ou 34009 387 095 4 4 : 10g en tube (aluminium verni) avec bouchon (PEHD).
9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DE L’AUTORISATION
Date de première autorisation: 01 juin 2010
10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE
[à compléter ultérieurement par le titulaire]
{JJ mois AAAA}
Sans objet.
12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACEUTIQUES
Médicament soumis à prescription médicale.
Liste I