RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT
ANSM - Mis à jour le : 11/12/2020
ADRENALINE ETHYPHARM 1 mg/ml, solution injectable
2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE
Adrénaline (épinéphrine)……………………………………………………………..1 mg
(Sous forme de tartrate d’adrénaline)
Pour 1 mL de solution injectable
Chaque ampoule de 0,5 mL contient 0,5 mg d’adrénaline.
Chaque ampoule de 1 mL contient 1 mg d’adrénaline.
Chaque ampoule de 2 mL contient 2 mg d’adrénaline
Chaque ampoule de 5 mL contient 5 mg d’adrénaline
Chaque ampoule de 10 mL contient 10 mg d’adrénaline.
Ce médicament contient moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par ml, c’est-à-dire qu’il est essentiellement « sans sodium » :
Excipient à effet notoire :
Contient 1 mg/ml de métabisulfite de sodium.
Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1
Solution injectable stérile (injection)
Solution stérile, claire et incolore, exempte de particules visibles.
pH 2,8 – 3,6
Osmolarité : environ 300 mOsm/kg
4.1. Indications thérapeutiques
· anaphylaxies
· réactions allergiques aiguës
4.2. Posologie et mode d'administration
Ce médicament sera administré par un professionnel de la santé qualifié.
La voie intramusculaire (IM) est recommandée par le Conseil de réanimation de l’UE comme étant la plus appropriée pour la plupart des personnes qui doivent donner de l’adrénaline pour traiter une réaction anaphylactique. Le patient doit être surveillé dès que possible (pouls, tension artérielle, ECG, oxymétrie de pouls). Cela aidera à surveiller la réponse à l’adrénaline.
Le meilleur site pour l’injection IM est la partie antérolatérale du tiers moyen de la cuisse.
L’aiguille utilisée pour l’injection doit être suffisamment longue pour que l’adrénaline soit injectée dans le muscle.
La voie sous-cutanée pour l’adrénaline n’est pas recommandée pour le traitement d’une réaction anaphylactique car elle est moins efficace.
Adultes :
La dose habituelle est de 0,5 mg (0,5 mL d’adrénaline à 1 mg/ml (1:1000) . Si nécessaire, cette dose peut être répétée plusieurs fois à intervalles de 5 minutes en fonction de la tension artérielle, du pouls et de la fonction respiratoire.
Il n’existe pas de régime posologique spécifique pour l’injection d’adrénaline chez les patients âgés. Cependant, l’adrénaline doit être utilisée avec beaucoup de prudence chez ces patients qui peuvent être plus sensibles aux effets secondaires cardiovasculaires de l’adrénaline.
Les doses suivantes d’ADRENALINE ETHYPHARM 1 mg/mL, solution injectable sont recommandées :
Âge |
Dose |
Plus de 12 ans |
0,5 mg IM (0,5 mL de solution à 1 mg/ml (1:1000)) 0,3 mg IM (0,3 mL de solution à 1 mg/ml (1:1000)) si l’enfant est petit ou prépubère) |
6 - 12 ans |
0,3 mg IM (0,3 mL de solution à 1 mg/ml (1:1000)) |
6 mois - 6 ans |
0,15 mg IM (0,15 mL de solution à 1 mg/ml (1:1000)) |
Moins de 6 mois |
0,01 mg/kg IM (0,01 ml/kg de solution à 1 mg/ml (1:1000)) |
Si nécessaire, ces doses peuvent être répétées plusieurs fois à intervalles de 5 - 15 minutes en fonction de la tension artérielle, du pouls et de la fonction respiratoire.
Une seringue de petit volume doit être utilisée.
Ne donnez pas ADRENALINE ETHYPHARM 1 mg/ml (1:1000), solution injectable par voie intraveineuse.
L’administration intraveineuse d’adrénaline pour l’anaphylaxie nécessite l’utilisation d’une solution d’adrénaline à 1:10 000 (voir section 4.4 pour l’usage intraveineux).
Hypersensibilité à la substance active ou à l’un des excipients mentionnés à la rubrique 6.1
Les contre-indications sont relatives car ce produit est prévu pour être utilisé en cas d’urgence vitale.
o L’utilisation dans les doigts, les orteils, les oreilles, les organes génitaux, le nez ou les fesses en raison du risque de nécrose ischémique des tissus.
o Ne pas utiliser si la solution a changé de couleur.
4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi
ADRENALINE ETHYPHARM 1 mg/ml, solution injectable ne convient pas à l’administration IV.
La voie IM est généralement préférée pour le traitement initial de l’anaphylaxie ; la voie IV est généralement plus appropriée dans les unités de soins intensifs (USI) ou au service des urgences. ADRENALINE ETHYHARM 1 mg/ml, solution injectable ne convient pas à une utilisation en IV. Si une solution d’adrénaline 0,1 mg/ml (1: 10 000) n’est pas disponible, ADRENALINE ETHYPHARM 1 mg/ml (1: 1000), solution injectable doit être diluée à 0,1 mg/mL (1:10 000) avant utilisation par voie intraveineuse. La voie intraveineuse pour l'injection d'adrénaline doit être utilisée avec une extrême prudence et est réservée aux spécialistes familiarisés avec l'utilisation intraveineuse d'adrénaline.
L’adrénaline doit être utilisée avec prudence chez les patients atteints d’hyperthyroïdie, de diabète sucré, de glaucome à angle étroit, de phéochromocytome, d’hypertension, d’hypokaliémie, d’hypercalcémie, d’insuffisance rénale grave, d’adénome prostatique entraînant la présence d’urine résiduelle, de maladie cérébrovasculaire, les patients âgés, les patients en état de choc (autre qu’un choc anaphylactique), de cardiopathie organique ou de dilatation cardiaque (angine de poitrine grave, cardiomyopathie obstructive, hypertension), ainsi que chez la plupart des patients présentant des arythmies, des lésions cérébrales organiques ou une artériosclérose cérébrale. Des douleurs angineuses peuvent être induites en présence d’insuffisance coronarienne.
L’adrénaline doit être utilisée avec prudence pendant la deuxième phase du travail (voir Grossesse et allaitement).
L’adrénaline peut causer ou exacerber l’hyperglycémie. La glycémie doit être surveillée, en particulier chez les patients diabétiques.
Une administration locale répétée peut provoquer une nécrose aux points d’injection.
Une administration prolongée peut induire une acidose métabolique, une nécrose rénale et une tachyphylaxie.
L’adrénaline doit être évitée ou utilisée avec une extrême prudence chez les patients sous anesthésie à l’halothane ou d’autres anesthésiques halogénés, en raison du risque de fibrillation ventriculaire induite.
Une injection intravasculaire accidentelle peut entraîner une hémorragie cérébrale en raison de l’augmentation soudaine de la tension artérielle.
Surveiller le patient dès que possible (pouls, tension artérielle, ECG, oxymétrie de pouls) afin d’évaluer la réponse à l’adrénaline.
Le meilleur site pour l’injection IM est la partie antérolatérale du tiers moyen de la cuisse. L’aiguille utilisée pour l’injection doit être suffisamment longue pour que l’adrénaline soit injectée dans le muscle.
ADRENALINE ETHYPHARM 1 mg/ml, solution injectable contient du métabisulfite de sodium qui peut causer des réactions de type allergique, y compris anaphylaxie et épisodes d’asthme potentiellement mortels ou moins graves chez certaines personnes sensibles.
La présence de métabisulfite de sodium dans l’adrénaline parentérale et la possibilité de réactions de type allergique ne doivent pas dissuader d’utiliser le médicament lorsqu’il est indiqué pour le traitement de réactions allergiques graves ou pour d’autres situations d’urgence.
4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions
Sympathomimétiques/ocytocine :
L’adrénaline ne doit pas être administrée en concomitance avec l’ocytocine ou d’autres agents sympathomimétiques en raison de la possibilité d’effets additifs et d’une toxicité accrue.
Agents bloquants alpha-adrénergiques :
Les alpha-bloquants comme la phentolamine s’opposent aux effets vasoconstricteurs et hypertenseurs de l’adrénaline.
Agents bloquants bêta-adrénergiques :
Une hypertension grave et une bradycardie réflexe peuvent survenir avec des bêta-bloquants non sélectifs comme le propranolol, en raison d’une vasoconstriction à médiation alpha.
Les bêta-bloquants, en particulier les agents non cardiosélectifs, s’opposent également aux effets cardiaques et bronchodilatateurs de l’adrénaline. Les patients atteints d’anaphylaxie grave qui prennent des bêta-bloquants non cardiosélectifs peuvent ne pas répondre au traitement à l’adrénaline.
Anesthésiques généraux
L’administration d’adrénaline à des patients recevant des anesthésiques généraux à base d’hydrocarbures halogénés qui augmentent l’irritabilité cardiaque et semblent sensibiliser le myocarde à l’adrénaline peut entraîner des arythmies, notamment des contractions ventriculaires prématurées, une tachycardie ou une fibrillation (voir rubrique 4.4).
Antidépresseurs :
Les antidépresseurs tricycliques tels que l’imipramine peuvent potentialiser les effets de l’adrénaline, en particulier sur le rythme et la fréquence cardiaque.
Inhibiteurs non sélectifs de la MAO :
Augmentation de l’effet vasopresseur de l’adrénaline, généralement modérée.
Inhibiteurs sélectifs de la MAO-A :
Linézolide (par extrapolation à partir d’inhibiteurs non sélectifs de la MAO) :risque d’augmentation de l’effet vasopresseur
Agents antihypertenseurs :
L’adrénaline inverse spécifiquement les effets antihypertenseurs des bloqueurs neuronaux adrénergiques tels que la guanéthidine, avec le risque d’une hypertension grave. L’adrénaline augmente la tension artérielle et peut antagoniser les effets des antihypertenseurs.
Phénothiazines :
L’adrénaline ne doit pas être utilisée pour contrer un collapsus circulatoire ou une hypotension causés par des phénothiazines : un renversement des effets vasopresseurs de l’adrénaline entraînant une baisse supplémentaire de la tension artérielle pourrait survenir.
Autres médicaments :
L’adrénaline ne doit pas être utilisée chez les patients recevant des doses élevées d’autres médicaments (p. ex. glycosides cardiaques) qui peuvent sensibiliser le cœur aux arythmies. Certains antihistaminiques (p. ex. diphénhydramine) et certaines hormones thyroïdiennes peuvent potentialiser les effets de l’adrénaline, surtout sur le rythme et la fréquence cardiaque.
Hypokaliémie :
L’effet hypokaliémique de l’adrénaline peut être potentialisé par d’autres médicaments qui causent une perte de potassium, notamment les corticostéroïdes, les diurétiques entraînant l’élimination du potassium, l’aminophylline et la théophylline.
Hyperglycémie :
L’hyperglycémie induite par l’adrénaline peut entraîner une perte de contrôle de la glycémie chez les patients diabétiques traités par l’insuline ou des hypoglycémiants oraux.
4.6. Fertilité, grossesse et allaitement
Grossesse
Un effet tératogène a été démontré dans des études sur des animaux.
L’adrénaline traverse le placenta. Il y a des preuves d’une légère augmentation de l’incidence des anomalies congénitales. L’injection d’adrénaline peut provoquer une anoxie, une tachycardie fœtale, des irrégularités cardiaques, des extrasystoles et des bruits cardiaques plus forts. L’adrénaline inhibe habituellement les contractions de l’utérus spontanées ou induites par l’ocytocine et peut retarder le deuxième stade du travail. En dosage suffisant pour réduire les contractions utérines, le médicament peut provoquer une atonie utérine prolongée avec hémorragie. Pour cette raison, l’adrénaline parentérale ne doit pas être utilisée pendant la deuxième phase du travail.
L’adrénaline ne devrait être utilisée pendant la grossesse que si les bienfaits potentiels l’emportent sur les risques possibles pour le fœtus.
Allaitement
L’adrénaline est excrétée dans le lait maternel. L’allaitement doit être évité chez les mères qui reçoivent une injection d’adrénaline.
Fertilité
On ne dispose d’aucune donnée sur l’effet de l’adrénaline sur la fertilité.
4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines
Sans objet dans des conditions normales d’utilisation
Les effets indésirables de l’adrénaline sont principalement liés à la stimulation des récepteurs alpha et bêta-adrénergiques. L’apparition d’effets indésirables dépend de la sensibilité de chaque patient et de la dose en cause.
Troubles du métabolisme et de la nutrition :
Fréquence inconnue : hyperglycémie, hypokaliémie, acidose métabolique.
Affections psychiatriques :
Fréquence inconnue : anxiété, nervosité, peur, hallucinations.
Affections du système nerveux :
Fréquence inconnue : maux de tête, tremblements, étourdissements, syncope.
Chez les patients atteints du syndrome de Parkinson, l’adrénaline augmente la rigidité et les tremblements.
Affections oculaires :
Fréquence inconnue : mydriase.
Affections cardiaques :
Fréquence inconnue : palpitations, tachycardie. En fortes doses ou chez les patients sensibles à l’adrénaline : dysrythmie cardiaque (tachycardie sinusale, fibrillation ventriculaire/arrêt cardiaque), crises d’angine aiguës et risque d’infarctus aigu du myocarde.
Affections vasculaires :
Fréquence inconnue : pâleur, froideur des extrémités. En dose élevée ou pour les patients sensibles à l’adrénaline : hypertension (avec risque d’hémorragie cérébrale), vasoconstriction (par exemple cutanée, aux extrémités ou aux reins).
Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales :
Fréquence inconnue : dyspnée.
Affections gastro-intestinales :
Fréquence inconnue : nausées, vomissements.
Troubles généraux et touchant le point d’administration :
Fréquence inconnue : transpiration, faiblesse
Des injections locales répétées peuvent provoquer une nécrose aux points d’injection en raison d’une constriction vasculaire.
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.signalement-sante.gouv.fr
Un surdosage ou l’administration intraveineuse d’adrénaline par inadvertance peut provoquer une hypertension grave. Des accidents cérébraux, cardiaques ou vasculaires potentiellement mortels peuvent en résulter (hémorragie cérébrale, dysrythmies telles que bradycardie transitoire suivie de tachycardie pouvant entraîner une arythmie, nécrose myocardique, œdème pulmonaire aigu, insuffisance rénale).
5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES
5.1. Propriétés pharmacodynamiques
L’adrénaline est une catécholamine naturelle sécrétée par la médullosurrénale en réponse à l’effort ou au stress.
C’est une amine sympathomimétique qui est un puissant stimulant des récepteurs alpha et bêta-adrénergiques et ses effets sur les organes cibles sont donc complexes. Elle est utilisée pour soulager rapidement les réactions d’hypersensibilité aux allergies ou aux anaphylaxies idiopathiques ou induites par l’effort. L’adrénaline fait que du glucose est relâché dans la circulation générale et que la consommation d’oxygène augmente. Le flux sanguin vers les reins, les muqueuses et la peau est réduit.
L’adrénaline a une forte action vasoconstrictrice par stimulation alpha-adrénergique. Cette activité contrecarre la vasodilatation et l’augmentation de la perméabilité vasculaire entraînant une perte de fluide intravasculaire et une hypotension subséquente, qui sont les principales caractéristiques pharmacologiques du choc anaphylactique.
L’adrénaline stimule les récepteurs bronchiques bêta-adrénergiques et a une action bronchodilatatrice puissante. L’adrénaline soulage également le prurit, l’urticaire et l’angio-œdème associés à l’anaphylaxie.
L’effet global de l’adrénaline dépend de la dose utilisée et peut être compliqué par les réponses réflexes homéostatiques.
5.2. Propriétés pharmacocinétiques
L’adrénaline a un début d’action rapide après l’administration intramusculaire et, chez le patient choqué, son absorption à partir du site intramusculaire est plus rapide et plus fiable qu’à partir d’un site sous-cutané. La demi-vie plasmatique est d’environ 2 à 3 minutes. Cependant, lorsqu’elle est administrée par injection sous-cutanée ou intramusculaire, la vasoconstriction locale peut retarder l’absorption de sorte que les effets peuvent durer plus longtemps que la demi-vie ne le suggère.
Biotransformation
L’adrénaline est rapidement inactivée dans l’organisme, principalement dans le foie par les enzymes catéchol-O-méthyltransférase (COMT) et monoamine oxydase (MAO).
Élimination
Une grande partie de la dose d’adrénaline est excrétée dans l’urine sous forme de métabolites. Le début d’action et l’effet de crête après l’injection est rapide, et la durée courte (1 à 2 heures). L’élimination se fait principalement par le métabolisme du foie et des terminaisons nerveuses sympathiques, avec une petite quantité excrétée inchangée dans l’urine.
5.3. Données de sécurité préclinique
Chlorure de sodium
Eau pour préparations injectables
Acide chlorhydrique ou hydroxyde de sodium pour l’ajustement du pH
L’adrénaline/épinéphrine est rapidement dénaturée par les agents oxydants et les alcalis, y compris le bicarbonate de sodium, les halogènes, les nitrates, les nitrites et les sels de fer, cuivre et zinc.
6.4. Précautions particulières de conservation
Conserver les ampoules dans l’emballage d’origine à l’abri de la lumière.
Ne pas congeler.
A conserver à une température ne dépassant pas 25 ºC.
6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur
0,5, 1, 2, 5, 10 mL dans des ampoules en verre de type I, autocassables, incolores, neutres. Scellées par fusion.
Conditionnement en cartons de 10 ampoules.
Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées
6.6. Précautions particulières d’élimination et de manipulation
Pour usage unique seulement. Si seulement une partie est utilisée, jeter le reste de la solution.
Tout médicament non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur.
7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
194 BUREAUX DE LA COLLINE
BATIMENT D
92213 SAINT-CLOUD CEDEX
8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
· 34009 301 771 4 3 : 0,5 mL en ampoule (verre) ; boîte de 10
· 34009 301 771 5 0 : 1 mL en ampoule (verre) ; boîte de 10
· 34009 301 771 7 4 : 2 mL en ampoule (verre) ; boîte de 10
· 34009 301 771 8 1 : 5 mL en ampoule (verre) ; boîte de 10
· 34009 301 771 9 8 : 10 mL en ampoule (verre) ; boîte de 10
9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DE L’AUTORISATION
[à compléter ultérieurement par le titulaire]
10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE
[à compléter ultérieurement par le titulaire]
Sans objet.
12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACEUTIQUES
Sans objet.