RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT

ANSM - Mis à jour le : 10/02/2022

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT

DRILL TOUX SECHE DEXTROMETHORPHANE ADULTES 15mg/5ml SANS SUCRE, sirop édulcoré au maltitol liquide

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

Bromhydrate de dextrométhorphane …………………….............................................................. 0,3 g

Pour 100 ml.

Excipients à effet notoire : parahydroxybenzoate de méthyle (E218) (45mg/100ml), parahydroxybenzoate de propyle (E216) (22,5mg/100ml), éthanol à 96% (0,025ml /100ml), maltitol liquide (100g/100ml).

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE

Sirop.

Solution visqueuse claire et incolore.

4. DONNEES CLINIQUES

4.1. Indications thérapeutiques

Ce médicament est indiqué dans le traitement de courte durée des toux sèches et des toux d’irritation chez l’adulte et l’adolescent à partir de 15 ans.

4.2. Posologie et mode d'administration

Voie orale.

Posologie

Réservé à l’adulte et l’adolescent à partir de 15 ans.

Une mesure de 5 ml contient 15 mg de bromhydrate de dextrométhorphane.

Il est recommandé de prendre 1 à 2 mesures de 5 ml 3 à 4 fois par jour.

En cas de besoin, renouveler la prise au bout de 4 heures.

Ne dépasser en aucun cas 8 mesures de 5 ml par jour correspondant à la dose quotidienne maximale de 120 mg de bromhydrate de dextrométhorphane.

La durée du traitement doit être limitée à 5 jours au bout desquels un avis médical est recommandé si les symptômes persistent.

Le traitement doit être limité aux épisodes de toux, sans dépasser les doses recommandées.

Population pédiatrique

Ce médicament ne devrait pas être utilisé chez l’enfant de moins de 15 ans.

Chez le sujet âgé ou en cas d’insuffisance hépatique : la posologie initiale sera diminuée de moitié par rapport à la posologie conseillée, et pourra éventuellement être augmentée en fonction de la tolérance et des besoins cliniques (voir rubrique 5.2).

4.3. Contre-indications

· Hypersensibilité à la substance active ou à l’un des excipients mentionnés à la rubrique 6.1.

· Insuffisance respiratoire ou utilisation chez les patients à risque de développer une insuffisance respiratoire.

· Maladie obstructive sévère des voies respiratoires ou asthme.

· Traitement concomitant avec les antidépresseurs de type IMAO et 14 jours après la fin du traitement (voir rubrique 4.5).

· Allaitement (voir rubrique 4.6).

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi

Mises en garde spéciales

· Les toux productives sont un élément fondamental du mécanisme de défense broncho-pulmonaire et ne doivent pas être supprimées.

· Un médicament expectorant ou mucolytique ne doit pas être combiné à un médicament antitussif.

· Avant de délivrer un traitement antitussif, il convient de s’assurer que les causes de la toux qui requièrent un traitement spécifique ont été recherchées.

· Le bromhydrate de dextrométhorphane ne doit pas être administré à des patients atteints de toux chroniques ou persistantes ou à des patients ayant une toux accompagnée de sécrétions excessives.

· Si la toux ne répond pas à un antitussif administré à une posologie usuelle, on ne doit pas procéder à une augmentation des doses ; la situation clinique doit être réévaluée.

· Ce médicament contient du parahydroxybenzoate de méthyle (E218) et du parahydroxybenzoate de propyle (E216) et peut provoquer des réactions allergiques (éventuellement retardées).

· Ce médicament contient du maltitol liquide. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au fructose (maladie héréditaire rare). Ce médicament peut provoquer un effet laxatif léger. Valeur calorique 2,3 kcal/g de sirop de maltitol.

· Il convient d’être prudent chez les patients atteints d’insuffisance hépatique sévère (voir rubrique 5.2).

· Des cas d’abus de consommation et de dépendance de dextrométhorphane ont été rapportés. La prudence est particulièrement recommandée chez les adolescents et les jeunes adultes, ainsi que chez les patients ayant des antécédents d’abus de médicaments ou de substances psychoactives.

· Le dextrométhorphane est métabolisé par le cytochrome hépatique P450 2D6. L’activité de cette enzyme est génétiquement déterminée. Environ 10 % de la population générale sont des métaboliseurs lents du CYP2D6. Les métaboliseurs lents et les patients qui utilisent de façon concomitante des inhibiteurs du CYP2D6 peuvent présenter des effets exacerbés et/ou prolongés du dextrométhorphane. La prudence est donc requise chez les patients métaboliseurs lents du CYP2D6 ou consommant de façon concomitante des inhibiteurs du CYP2D6 (voir aussi rubrique 4.5).

Syndrome sérotoninergique

Des effets sérotoninergiques, incluant le développement d’un syndrome sérotoninergique pouvant mettre en jeu le pronostic vital, ont été rapportés avec le dextrométhorphane lors d’administration concomitante d’agents sérotoninergiques, tels que des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (IRS), des médicaments qui altèrent le métabolisme de la sérotonine (dont les inhibiteurs de la monoamine oxydase (IMAO)) et les inhibiteurs du CYP2D6.

Le syndrome sérotoninergique peut inclure des modifications de l’état mental, une instabilité du système nerveux autonome, des anomalies neuromusculaires et/ou des symptômes gastro-intestinaux.

En cas de suspicion de syndrome sérotoninergique, le traitement par DRILL TOUX SECHE ADULTES 15mg/5ml SANS SUCRE doit être interrompu.

Précautions particulières d’emploi

· La prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l’alcool pendant le traitement est déconseillée (voir rubrique 4.5 et 4.7).

· Ce médicament contient de faibles quantités d’éthanol (alcool), inférieures à 100 mg par 5 ml.

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions

Associations contre-indiquées

+ IMAO non sélectifs : risque d’apparition d’un syndrome sérotoninergique : diarrhée, tachycardie, sueurs, tremblements, confusion voire coma.

+ IMAO sélectifs (moclobémide, toloxatone) : par extrapolation à partir des IMAO non sélectifs. Risque d’apparition d’un syndrome sérotoninergique : diarrhée, tachycardie, sueurs, tremblements, confusion voire coma.

Associations déconseillées

+ Alcool : majoration par l’alcool de l’effet sédatif des antitussifs centraux. L’altération de la vigilance peut rendre dangereuse la conduite de véhicules et l’utilisation de machines.

Eviter la prise de boissons alcoolisées et d’autres médicaments contenant de l’alcool.

Associations à prendre en compte

+ Autres dépresseurs du système nerveux central : dérivés morphiniques (analgésiques, antitussifs et traitements de substitution) ; neuroleptiques ; barbituriques ; benzodiazépines ; anxiolytiques autres que benzodiazépines ; hypnotiques ; antidépresseurs sédatifs ; antihistaminiques H1 sédatifs ; clonidine et apparentés ; baclofène ; thalidomide.

Majoration de la dépression du système nerveux central. L’altération de la vigilance peut rendre dangereuse la conduite de véhicules et l’utilisation de machines.

+ Autres dérivés morphiniques (analgésiques, antitussifs et traitements de substitution) : dépression respiratoire (synergie potentialisatrice) des effets dépresseurs des morphiniques en particulier chez le sujet âgé.

Inhibiteurs du CYP2D6

Le dextrométhorphane est métabolisé par le CYP2D6 et subit un métabolisme de premier passage important. L’utilisation concomitante d'inhibiteurs puissants de l’enzyme CYP2D6 peut augmenter les concentrations sanguines de dextrométhorphane plusieurs fois supérieures à la normale. Il en résulte une augmentation du risque de survenue d'effets indésirables du dextrométhorphane (agitation, confusion, tremblements, insomnie, diarrhée et détresse respiratoire) et d'apparition d'un syndrome sérotoninergique. Les inhibiteurs puissants du CYP2D6 incluent la fluoxétine, la paroxétine, la quinidine et la terbinafine. En cas d’administration concomitante avec de la quinidine, les concentrations plasmatiques de dextrométhorphane ont augmenté jusqu’à 20 fois entrainant une augmentation de la survenue d'effets indésirables du dextrométhorphane au niveau du système nerveux central. L’amiodarone, le flécaïnide et la propafénone, la sertraline, le bupropion, la méthadone, le cinacalcet, l’halopéridol, la perphénazine et la thioridazine exercent également des effets similaires sur le métabolisme du dextrométhorphane. Si l'administration concomitante d'inhibiteurs du CYP2D6 et du dextrométhorphane ne peut être évitée, le patient doit être surveillé et il peut être nécessaire de diminuer la dose de dextrométhorphane.

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement

Grossesse

Bien que le dextrométhorphane soit largement utilisé depuis de nombreuses années, les données cliniques disponibles sur l’utilisation durant la grossesse sont insuffisantes.

Cependant l’administration d’antitussif d’action centrale en fin de grossesse, à des posologies élevées, même en traitement bref, est susceptible d’entraîner une dépression respiratoire chez le nouveau-né.

Au cours des trois derniers mois de la grossesse, la prise chronique de dextrométhorphane par la mère, et cela quelle que soit la dose, peut être à l’origine d’un syndrome de sevrage chez le nouveau-né.

Ce médicament n’est pas recommandé durant la grossesse et chez les femmes en âge de procréer n’utilisant pas de contraception.

Compte tenu de la présence d’alcool, l’utilisation de ce médicament pendant la grossesse est à éviter.

Allaitement

On ignore si le dextrométhorphane ou ses métabolites passent dans le lait maternel humain. Cependant, quelques cas d’hypotonie et de pauses respiratoires ont été décrits chez des nourrissons, après ingestion par les mères d’autres antitussifs centraux à doses supra-thérapeutiques.

Un risque chez les nouveau-nés et les nourrissons ne peut être exclu.

En conséquence, ce médicament est contre-indiqué pendant l’allaitement (voir rubrique 4.3).

Fertilité

Il n’existe pas de données à propos de la fertilité. En l’absence de donnée, un risque ne peut être exclu (voir rubrique 5.3).

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines

Les conducteurs de véhicules et les utilisateurs de machines doivent particulièrement faire attention aux risques de somnolence et de vertiges liés à l'emploi de ce médicament.

4.8. Effets indésirables

Les effets indésirables sont classés en fonction de leur fréquence d’après la convention suivante : très fréquent (≥ 1/10), fréquent (≥ 1/100, <1/10), peu fréquent (≥1/1 000, <1/100), rare (≥1/10 000, <1/1 000), très rare (<1/10 000), fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).

Affections gastro-intestinales

Indéterminé (ne peut être estimée sur la base des données disponibles) : Nausées, vomissements, constipation.

Affections du système nerveux

Indéterminé (ne peut être estimée sur la base des données disponibles) :- Vertiges, somnolence.

Affections du système immunitaire

Indéterminé (ne peut être estimée sur la base des données disponibles) : Réactions allergiques (à type d’éruption prurigineuse, urticaire, oedème de Quincke, bronchospasme).

Des cas d’abus à des fins récréatives et hallucinogènes ont été rapportés, notamment chez des adolescents et des jeunes adultes ainsi que chez les patients présentant des antécédents d’abus de médicaments ou de substances psychoactives (voir rubrique 4.4).

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.signalement-sante.gouv.fr.

De plus, les professionnels de santé déclarent tout cas d’abus ou de pharmacodépendance grave via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et le réseau des Centres d’Evaluation et d’Information sur la Pharmacodépendance (CEIP) – Site internet : www.signalement-sante.gouv.fr.

4.9. Surdosage

Symptômes et signes

Les symptômes observés en cas de surdosage aigu sont principalement liés à l’action sur les récepteurs NMDA ; un syndrome anticholinergique ou opiacé est possible.

Un surdosage de dextrométhorphane peut être associé à des nausées, des vomissements, une dystonie, de l’agitation, une confusion, de la somnolence, une torpeur, du nystagmus, de la cardiotoxicité (tachycardie, ECG anormal, dont allongement de l’intervalle QTc), de l’ataxie, une psychose toxique avec hallucinations visuelle et hyperexcitabilité mais également de l’ hypertension artérielle, de la rétention urinaire, une mydriase et des troubles de l’accommodation, ainsi que des signes neuropsychiques : vertige et hypertonie.

En cas de surdosage massif, les symptômes suivants peuvent être observés : coma, dépression respiratoire, convulsions.

Prise en charge :

En cas de surdosage aigu, une surveillance hospitalière immédiate est recommandée avec, si nécessaire, un traitement symptomatique, par exemple :

-Du charbon activé peut être administré en l’absence de contre-indication, aux patients asymptomatiques ayant ingéré des surdosages de dextrométhorphane dans l’heure précédente.

-Pour les patients ayant ingéré du dextrométhorphane et qui sont sous sédation ou comateux, l’administration de naloxone peut être envisagés aux dosages habituels pour le traitement d’une overdose d’opioïdes. Des benzodiazépines pour les convulsions, ainsi que des benzodiazépines et des mesures de refroidissement externe pour l’hyperthermie due au syndrome sérotoninergique peuvent être utilisées Le lavage gastrique ne doit pas être pratiqué en raison de l’hypoxie possible lors du geste, augmentant le risque de convulsions.

Des cas d’abus à des fins récréatives ont été rapportés en particulier chez les adolescents et les jeunes adultes et les patients ayant des antécédents d’abus de médicaments ou substances psychotropes (voir rubrique 4.4.).

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES

5.1. Propriétés pharmacodynamiques

Classe pharmacothérapeutique : ANTITUSSIFS, SAUF ASSOCIATIONS AUX EXPECTORANTS, ALCALOIDES DE L’OPIUM ET DERIVES, Code ATC : R05DA09.

Dérivé morphinique antitussif d’action centrale. Aux doses thérapeutiques, il n’entraîne pas de dépression des centres respiratoires ; en revanche, il peut entraîner tolérance, abus et dépendance.

5.2. Propriétés pharmacocinétiques

Le dextrométhorphane est bien absorbé au niveau du tractus gastro-intestinal. Il est métabolisé au niveau du foie, et excrété dans l’urine sous forme inchangée ou sous forme de métabolites déméthylés tel que le dextrorphan.

Absorption

Le dextrométhorphane est bien absorbé au niveau du tractus gastro-intestinal après administration orale, avec un tmax entre 1,5 et 3 heures.

Distribution

En raison de son profil lipophile, le dextrométhorphane présente une large distribution dans les tissus, notamment au niveau central, tandis que le principal métabolite, dextrorphane, qui est moins lipophile, est beaucoup moins distribué dans le système nerveux central.

Biotransformation

Après administration par voie orale, le dextrométhorphane subit un métabolisme de premier passage hépatique rapide et important. Chez le volontaire sain la voie métabolique prédominante observée s'exerce par O-déméthylation au niveau du CYP2D6 dont le niveau d'activité est fonction du génotype.

Différents phénotypes d’oxydation ont été observés à l'origine d'une importante variabilité interindividuelle de la pharmacocinétique. Le dextrométhorphane non métabolisé, associé aux trois métabolites morphinanes déméthylés, le dextrorphane (également désigné 3-hydroxy-N-méthylmorphinane), 3-hydroxymorphinane et 3-méthoxymorphinane ont été identifiés sous la forme de produits conjugués dans les urines.

Le dextrorphane, qui exerce également une action antitussive, est le principal métabolite. Certains sujets présentent un métabolisme ralenti conduisant à la présence prolongée de dextrométhorphane inchangé dans le sang et les urines.

5.3. Données de sécurité préclinique

Il n’existe aucune donnée fiable de tératogénèse chez l’animal en lien avec la présence de dextrométhorphane.

Les données de sécurité préclinique dans la littérature n’ont pas révélé de conclusion pertinente qui n’aurait pas été mentionnée dans le RCP.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES

6.1. Liste des excipients

Parahydroxybenzoate de méthyle (E218), parahydroxybenzoate de propyle (E216), éthanol à 96%, sirop de glucose hydrogéné, arôme punch, hydroxyde de sodium (pour ajustement du pH), eau purifiée.

6.2. Incompatibilités

Sans objet.

6.3. Durée de conservation

Conditionnement en flacon (verre) : 4 ans

Conditionnement en flacon (polytéréphtalate d’éthylène) : 3 ans

La préparation doit être utilisée dans les 5 jours suivant l’ouverture du flacon.

6.4. Précautions particulières de conservation

Conditionnement en flacon (verre) : A conserver à température ambiante

Conditionnement en flacon (polytéréphtalate d’éthylène) : Pas de précaution particulière de conservation.

Pour les précautions particulières de stockage après la première ouverture du médicament, voir rubrique 6.3.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur

125 ou 150 ml en flacon (verre brun) avec cuillère-mesure (5 ml).

125 ou 150 ml en flacon PET (polytéréphtalate d’éthylène).

Une cuillère-mesure de 5 ml peut être ajoutée dans certains conditionnements.

Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées.

6.6. Précautions particulières d’élimination et de manipulation

Pas d’exigences particulières.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

PIERRE FABRE MEDICAMENT

Les Cauquillous

81500 Lavaur

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

· CIP 34009 334 207 2 7 : 150 ml en flacon (verre brun) avec cuillère-mesure 5 ml.

· CIP 34009 359 761 3 0 : 125 ml en flacon PET (polytéréphtalate d’éthylène).

· CIP 34009 359 763 6 9 : 150 ml en flacon PET (polytéréphtalate d’éthylène).

· CIP 34009 343 343 2 0 : 125 ml en flacon (verre brun) avec cuillère-mesure 5 ml.

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DE L’AUTORISATION

Date de première autorisation : 12 septembre 1991.

Date de dernier renouvellement : 05 septembre 2010.

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE

19 Octobre 2017

11. DOSIMETRIE

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACEUTIQUES

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste I.